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29 mai 2020 5 29 /05 /mai /2020 20:21

Est-il raisonnable de faire voyager autour du globe des denrées que l’on peut trouver chez nous ou qui ont leur équivalent ! Faisons barrage aux haricots verts du Pérou en hiver, au miel de Nouvelle Zélande qui coûte la peau des fesses en plus, aux nuggets de poulet qui traversent l’Atlantique en tous sens avant de finir dans notre assiette et contiennent fort peu de poulet en prime !

MANGEONS LOCAL ET DE SAISON une façon aussi de ne pas acheter fruits et légumes en grandes surfaces, ces derniers contribuant à la casse de l’économie et à l’appauvrissement des producteurs locaux et de leur rendre justice. Une manière aussi de mettre un terme à la production extensive qui appauvrit les sols mais aussi les populations qui produisent pour l’exportation et importent les denrées de première nécessité !

L’argument massue, le moindre coût pour les familles en difficulté ne tient pas vraiment ! Et la qualité, qu’en fait-on ? Sans doute vais-je déplaire mais quand je fréquentais encore les grandes surfaces le contenu de certains caddies était effrayant. Poulet à 3€ , offres promotionnelles à 1€, 3 ou 4 articles pour le prix d’un au risque de gaspiller !!!

Mais quand on sait que la valeur nutritionnelle d’un œuf de poule élevée en batterie n’a rien à voir avec celle d’une poule qui a couru en plein air, imaginons ce qu’avale le consommateur quand il ingurgite une volaille gavé d’antibios, déplumé et à qui l’on a coupé le bec !

https://www.youtube.com/watch?v=JvhOavlS1s0

Pas cher mais riche de conséquences sanitaires !

Ne pourrait-on plutôt faire en sorte que les revenus modestes aient accès à la qualité, quantité ne rime pas avec qualité ! Pourtant différencier le bon du non vertueux c’est simple, il suffit juste de ne pas acheter ce que vantent les publicités !

Tout ceci devrait passer par une refonte complète de notre société en commençant par sortir de l’addiction aux médias qui voudraient nous faire croire qu’il est utile d’avoir le dernier modèle de téléphone portable, le home cinéma, la tablette dernier cri … et qu’un plateau repas devant la télé est le fin du fin !

Et nous, les consommateurs avons seuls le pouvoir d’être les acteurs de cette réorganisation en sachant dire STOP !

Nous avons tous droit à la qualité mais cela passe aussi par une prise de conscience du consommateur, parfois par une rééducation ! Préférer faire la soupe maison que l’acheter en brick. Nous avons l’habitude de faire des plans « soupe » et je peux vous assurer que réaliser 8 bocaux de 75 cl de soupe ne nous demande pas plus d’une heure en mettant toutes les opérations bout à bout pour un prix dérisoire puisque nous ne prenons que ce qui est de saison et local au moment où les prix sont les plus bas !

C’est bon et gratifiant, pas d’empreinte carbone, c’est bon pour l’économie locale … et même en ville cela reste possible avec les AMAP !

Dominique

https://www.youtube.com/watch?v=JvhOavlS1s0

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26 mai 2020 2 26 /05 /mai /2020 20:34

Quelle belle journée que ce 26 mai ! Nous avons retrouvé nos montagnes et gagné le Col d’Ares et retrouvé les grandes gentianes .

Il y avait si longtemps !

2 mois de liberté volée !

Nous avons mis le cap sur la Tour de Mir mais plutôt que d‘y retourner nous avons choisi de filer sur Espinavell, en Espagne !

Notre but, le Puig de la Clapa, face au Costabonne avec un panorama à 360° et toujours sous l’œil bienveillant du plus beau des sommets, le Canigou !

Nous avons bravé l’interdit et pique-niquer hors du territoire français !

Sorbier des oiseleurs en fleurs, la montagne nous a fait le grand jeu.

Nous avons dégoté un resto 3 étoiles fréquenté par les bousiers du coin, le crottin semblait délicieux !

En approchant au but nous sommes tombées sur « the must » des bains de boue ! Pour un peu nous aurions tenté le coup ! Le grand pied apparemment !

4 heures plus tard nous retrouvions le cami de la Retirada et la chapelle Sainte Marguerite qui nous a déjà accueillies par le passé ! 

Merci la vie ! Do

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23 mai 2020 6 23 /05 /mai /2020 20:21

Déconfinés, nous voilà déconfinés et sans rentrer dans des thèses complotistes il y a quelques réflexions que j’aimerais partager. Je ne suis pas Vincent Lindon (que j’apprécie énormément mis à part sa diction qui parfois me laisserait croire que je deviens « dure de la feuille ») ou Juliette Binoche mais je pense avoir autant de légitimité à faire part de suggestions nées des constats posés tout au long de l’épisode que nous venons de vivre.

 

Je commencerai par ce qui a été le plus flagrant, les effets pervers de la mondialisation ce qui nous ont permis majoritairement de réaliser que nous nous étions fourvoyés et que la clé de notre (sur)vie se déclinait aujourd’hui en un seul mot, autonomie. A force de déléguer nos pouvoirs nous nous sommes livrés pieds et poings liés à ceux qui ne pensent qu’en terme de rendement, profit !

Il y a un peu plus d’un an des voyants s’étaient allumés, notamment en terme de santé publique mais il faut bien en convenir le mouvement des gilets jaunes n’a pas réussi à changer la donne !

 

A mon avis, avis quand même partagé par de nombreuses personnes, la Violence a sabordé l’action et si la répression s’est déchaînée contre les manifestants je reste persuadée que tout a basculé avec le saccage de l’Arc de Triomphe de Paris. Sans cet évènement tous ceux qui au début du mouvement désiraient faire entendre leur voix se seraient alors fédérés. En s’attaquant à l’un des symboles de nos valeurs, les gilets jaunes ont perdu de leur légitimité à représenter le peuple !

Aujourd’hui nous devons tirer les leçons de ces deux épisodes et réfléchir à ce que nous voulons vivre, comment le vivre et agir MAIS EN NOUS ABSTENANT DE TOUTE FORME DE VIOLENCE. Les mêmes causes génèrent toujours les mêmes effets, la violence est dégradante !

Inspirons nous dGandhi !

Les effets délétères de la mondialisation nous demandent de réfléchir maintenant à ce que nous pourrions mettre en œuvre pour reprendre notre vie en main !

Les pistes sont multiples et je n’ai pas la prétention de tout avoir envisager, cet article pourrait donc n’être que le début d’un échange où nous pourrions partager des idées, les mutualiser et les faire nôtres dans notre quotidien.

Je me propose donc à vous exposer nos idées, dont beaucoup ont déjà été mises en œuvre depuis bien avant le confinement, en quelques articles dont l’intitulé générique pourrait être « Comment agir pour faire vivre ce nouveau monde ! ».

Alors commençons !

 

La clé de tout réside dans la capacité à se mettre en condition et de se persuader pour l’intégrer parfaitement que NUL NE PEUT NOUS CONTRAINDRE À FAIRE CE QUE NOUS NE VOULONS PAS FAIRE ! En ce qui me concerne j’ai intégré la chose dès ma petite enfance et je l’ai pratiqué activement jusqu’à ma cessation d’activité sans avoir dit pour autant mon dernier mot !

Personne ne peut nous contraindre à être ce que nous ne sommes pas, à faire ce que l’on ne sent pas, à consommer ce dont on ne veut pas !

Alors consommons mais de manière réfléchie convaincu que notre bonheur ne tient pas à la possession d’une nouvelle voiture, d’un téléphone portable neuf chaque année !!! C’est juste ce que l’on veut nous faire croire le crédit étant une manne pour les banques. C’est aussi pour cela que l’on nous ressasse que manger sain et ou bio est réservé aux riches. La vraie raison est que l’on n’achète pas sa nourriture à crédit.

Nous devons pouvoir dire NON !

Choisir de manger sain pour se doter d’un système immunitaire en béton, jouir de la vie de manière active est notre droit ! La méga télé dont beaucoup rêvent n’est qu’un leurre, le mythe de la caverne dont parlait Platon ! Le spectacle qui défilait sur les parois de la caverne n’a pas plus de réalité tangible que ce qui vous est montré sur les écrans !

Dominique

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23 mai 2020 6 23 /05 /mai /2020 16:59

Franchement il y a des jours où je regrette le confinement, les samedis et dimanches sont des jours de grand danger, du grand n’importe quoi.

Piéton ou cycliste même combat, nous sommes gênants et l’on peut être dans la gratitude lorsqu’on a réussi à traverser sans se faire écrabouiller ou à circuler à vélo sans être dégommé par ceux qui doublent au mépris des règles les plus élémentaires de sécurité.

Accélération rageuse, propos déplacés … la liste est longue ! On nous reproche même de ne pas utiliser les pistes cyclables ! désolée je ne pratique pas la téléportation et puis sur les pistes les voitures sont bien souvent tolérées (c’est fou ce qu’il y a d’ayants-droits).

Quant aux espaces publiques, c’est la loi de la jungle. Ce matin alors que nous faisions remarquer à un automobiliste qu’il était entré par la sortie du parking, il nous a juste rétorqué qu’il avait la flemme d’aller jusqu’à l’entrée !

Non franchement, c’est à désespérer ! Comment aimer son prochain comme soi-même ? Même si tous ces actes irrespectueux (gants, masques, cannettes, détritus jetés à terre) traduisent le peu de respect que les personnes qui les commettent ont pour elles même, il y a des jours où vraiment c’est trop !

Si je sais bien qu’insulter l’autre c’est manifester l’humiliation dont notre enfant intérieur a souffert, j’avoue que certains jours leurs blessures m’indiffèrent.

Voire même me mettent en colère.

Nous essayons d’être respectueuses, attentives, dans la gratitude certes mais parfois je ne peux pas et j’aimerais bien être l’incroyable Hulk ou Obélix envoyant valser les romains pour me défouler !

Bon, ça ira mieux demain, nous allons aller en montagne !

Dominique

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20 mai 2020 3 20 /05 /mai /2020 20:57

Mercredi 20 mai, branle-bas de combat ! Nous voilà reparties à l’assaut de nos chères Albères mais pas sans mal, parce que cela palpite dur ! Et là je réalise tout à coup à quel point le confinement fut un piège, la perte de Liberté une zone de confort où se vautrer ! Une zone où l’on pense, décide pour l’humain de ce qui est bon, bien, dangereux ou pas. Un espace d’où la peur est absente puisse que tout ce qui peut la générer a été clairement identifier et généreusement partagé par les médias !

Certes nous n’avons jamais baissé notre garde, notre espace de liberté a été pleinement investi, nous avons même petit à petit amélioré notre moyenne allant jusqu’à dépasser les 6 kilomètres à l’heure sans l’ombre d’une palpitation ! Une demie heure de vélo d’appartement à plein tube cela te fait un coeur en béton !

Alors pourquoi ces contractions anarchiques, cette crise d’angoisse ?

Enfantin !

Si nous n’en sommes pas au point de ceux que nous croisons sur les petits chemins et sautent sur leur masque ou foncent dans le bas côté nous avons quand même intégré malgré nous tous ces propos angoissants dont on nous rebat les oreilles !
Coup de chance, nous commençons à savoir débusquer les manœuvres de notre mental, cette conscience autonome qui prend souvent à notre insu le contrôle de notre corps en interprétant à sa manière les informations qu’il engrange.

Mais il est possible de lui parler, de le faire taire et de reprendre le contrôle de notre vie. Ne déléguons jamais !

Passée la première heure, cela s’est apaisé, un soin énergétique et nous avons repris le cours de la rando, un peu secouées quand même jusqu’à retrouver le Casot del Guard.

Nous nous sommes posées un instant au coeur du cercle formé par les cinq grands pins qui nous accueillent à chacune de nos visites, un lieu doté d’énergies vibratoires ressourçantes !

Et comme la vie est un chef d’œuvre, les rencontres en redescendant par le « Pou de Gel » (puits à glace) se sont multipliées.

Sur cette ancienne draille encore dallée par endroits jamais nous n’avions croisé autant de randonneurs, à croire que chacun voulait goûter à la joie de vivre en toute liberté, comme ces deux filles hyper dynamiques avec qui nous avons taillé « le bout de gras ». Requinquées nous avons passé les torrents dévalants vers la plaine !

Alors pour finir si je peux me permettre un petit conseil, ne confiez à personne le soin de décider de ce qui est bon ou pas pour vous, connectez vous à la part de vous qui sait et privilégiez toujours ce qui vous permettra de goûter à la Liberté !

La vie est belle et nous avons tous le droit de vivre selon nos aspirations dans le respect de tout ce qui est ! Do

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11 mai 2020 1 11 /05 /mai /2020 18:06

Vaste sujet que je m’autorise là maintenant tout de suite à évoquer parce que, franchement, ça me prend aux tripes !

Aimer, être aimé, nous en ressentons tous le besoin et nous avons majoritairement intégré que pour savoir aimer l’autre, les autres il fallait déjà savoir s’aimer soi !

Aimer c’est avoir de la compassion et donc vouloir le meilleur pour soi, pour l’autre !

Seulement voilà aimer c’est aussi et surtout se respecter et respecter l’autre !

Et donc aujourd’hui je voudrais juste dire à tous ceux qui se sont rués au Perthus pour faire le plein de clopes, d’alcool, collés, serrés au mépris de toutes les règles sanitaires les plus élémentaires en cette période de pandémie qu’il faut quand même avoir une sacré dose de mépris de la vie pour se comporter ainsi. De la vie en générale mais aussi de la vôtre.

Alors que vous manquiez du plus élémentaire respect pour votre personne, je vous le dis tout net, je m’en bats l’œil et le flanc gauche, mais votre attitude démontre un manque de respect total pour vos concitoyens.

Si j’ai respecté scrupuleusement le confinement en me languissant de tout ce qui m’est cher et auquel j’ai dû renoncer, je ne dois pas être la seule à me dire qu’il me serait insupportable que votre manque du plus élémentaire sens civique me, nous, prive de nouveau de notre Liberté.

Avez-vous une seconde pensé aux personnes âgées confinées SANS visite en maisons de retraite, sans doute non !

Les optimistes voyaient le confinement ainsi !

 Les pessimistes quant à eux voyaient le déconfinement ainsi !

Et aujourd'hui le déconfinement, c'était ça !

Votre attitude est de celles qui cautionnent les régimes totalitaires liberticides !

Je pense, je suis même certaine, qu’il y a plus de réflexion chez les animaux, en tout cas je connais un nombre de chats, chiens qui vous en remontreraient, que chez vous!

Dire que le ministre Castagnier disait faire confiance à l’intelligence des français ! Do

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10 mai 2020 7 10 /05 /mai /2020 20:13

Non je ne vous dirai pas que cette pandémie m’a réjouie mais pourtant j’ai ressenti un immense soulagement lorsque tout s’est soudainement arrêté le 16 mars.

Quelque chose était en germe, je le savais, mais c’était imprécis et donc préoccupant !

Cette mise à l’arrêt soudaine m’a donc semblé un moindre mal.

De toute façon nous ne pouvions plus continuer ainsi !

A dire vrai j’ai perçu cela comme un cadeau ! Cette épreuve qui nous était imposée avec toutes les vicissitudes inhérentes à la situation avait fatalement quelque chose de positif à nous offrir !

Dans un premier temps, comme beaucoup, notre activité s’est faite frénétique, tout ce qui était en attente de longue date y est passé. Pour garder la forme (et pouvoir re crapahuter) à la séance de  « gym » quotidienne se sont ajoutés un moment entraînement sur le vélo d’appartement qui depuis quelques années étant juste encombrant et la balade réglementaire à un rythme soutenu, foin du train de sénateur !

Nous en avons profité pour travailler d’arrache-pied au piano, travailler n’étant pas le terme exact car c’est surtout un grand moment de bonheur, méditer … et imaginer, donner forme à cette nouvelle vie qui s’ouvrait à nous !

C’était juste le moment de savoir ce que nous voulions vivre. 

Une porte s’est refermée violemment derrière nous et nous sommes nombreux à avoir compris que nous ne pourrions plus revenir en arrière, d’ailleurs nous ne le voulons plus ! Si nous avons pris conscience de la fragilité de notre Terre il ne nous a pas fallu longtemps pour réaliser son incroyable pouvoir de régénération.

Elle va très bien sans nous, même mieux ! L’humain ne lui est guère utile, le message est bien passé. Un ultimatum nous a été adressé si nous ne changeons pas de cap, nous serons éjectés !

Evidemment si nous sommes un certain nombre à avoir reçu le message 5/5, nos dirigeants n’ont pas perdu de vue l’idée de nous amener à « reconsommer ». Il est impératif de continuer à faire miroiter une vie, à crédit, de plaisir conjuguant mal- bouffe, vitesse et consommation effrénée !

Juvénal réveille toi ! l’empire romain contre attaque.

Nous revoilà au temps où le poète fustigeait ses concitoyens si faciles à appâter dès lors qu’ils avaient « panem et circenses », de quoi manger et se divertir.

Alors je parlerai en mon nom, et au nom de ceux qui se reconnaîtront !

Je ne veux plus de ce monde d’avant et puisque j’ai pu ralentir considérablement le rythme et y trouver un bien fou, je vais continuer, DÉCONFINÉE évidemment !

Parce que je n’ai pas oublié mes 18 ans quand j’arpentais le bitume parisien à une époque où il était interdit d’interdire !

Fini les supermarchés, depuis janvier nous avions commencé à les boycotter . En jouant le jeu des petits commerces, des producteurs locaux (grâce à Facebook nous avons découvert qu’ils étaient nombreux), en nous livrant à des cueillettes sauvages, plantain, pariétaire, porcelle, aneth (nous venions de prendre notre première leçon de « cueilleuse »), nous n’avons jamais autant goûté au plaisir d’une alimentation savoureuse.

Nous avions déjà expurgé de notre vie la sophistication, le tout électrique, nous avons franchi un autre cap. Demain ne sera plus comme hier !

Nous allons continuer à regrouper nos achats sur un même jour lorsqu’il faudra recourir à la voiture et dans tous les autres cas, ce sera à pied ou a vélo même pour continuer à ravitailler les voisins si nécessaire !

Nous reprendrons … sans doute … à la première occasion, notre fourgon mais ce ne sera plus pour des voyages au long cours, de toute façon nous commencions à avoir quelques difficultés à choisir des destinations. Nous nous sommes bien baladées et nous avons compris qu’il est inutile de retourner sur ses pas, déconvenue assurée !

Nous avons eu la chance et la joie de nous offrir les destinations de nos rêves, l’Egypte à une époque où l’on n’était pas parqué sur un bateau, la Grèce plusieurs fois, en solo et au gré de nos envies.

De l’Ararat aux Caraïbes, des pays du Maghreb au cap Nord, des Orcades à la Caspienne nous nous sommes éclatées. Si un jour nous avons la possibilité de quitter l’Hexagone j’espère que ce sera pour retourner en Espagne mais ce que nous viserons avant tout ce sont les coins de nature où l’on pourra vivre en autarcie et pratiquer nos hobbies favoris, la marche, le vélo ou alors pour des retrouvailles entre amis, avec la famille !

Ce temps de repli sur soi nous a permis de savoir de mieux en mieux vivre l’instant présent, de lâcher prise, il nous a offert de multiples occasions de partage et nous allons continuer à transmettre, échanger savoirs, témoignages. Un petit réseau s’est constitué, nous allons tout miser dessus ! Actions collectives et participatives, je sais ce que je veux vivre comme par exemple au Jardin de Claire.

Nous avons ralenti parce que nous n’avions pas le choix, nous allons continuer consciemment !

Je sais aussi ce dont je ne veux plus et ce que je ne veux pas.

Je sais qu’il est légitime de savoir dire NON pour se respecter, se faire respecter, respecter la Vie mais que cela ne passe pas par la violence et si je vous dis cela ce n’est pas sans raison.

Depuis quelques jours des signaux s’allument qui donnent à penser que cela pourrait « secouer ». D’autres conflits sont peut-être en germe, la mortalité dans les EPADH où les résidents vont continuer à être confinés (pour ne pas les voir mourir du Covid on les pousse à mourir de solitude), l’absence de protection, la crise économique orchestrée magistralement, la crise sanitaire qui pourrait s’installer avec les logiques vaccinales, le flicage via une technologie invasive et banalisée dans notre quotidien …

Peut-être allons nous devoir nous inspirer de Gandhi, agir mais dans le calme, déployer la force tranquille de ceux qui savent que désobéir est parfois un signe de maturité !

 « La non-violence est la plus grande force que l’humanité ait à sa disposition », Mohandas Karamchand Gandhi.

Certaines paroles de Jésus donnent aussi à réfléchir « ce ne sont pas toujours les grands mots ni les grandes idées qui nous font avancer mais souvent de toutes petites choses. ». En fait cela ne requiert pas un grand investissement, juste ne pas faire de vague, ne rien dire, ne rien faire ! A votre avis qu’est-ce qui aurait eu le plus de poids, vociférer contre les grandes surfaces qui ont magouillé pour se procurer des masques et les vendre à prix d’or ou les boycotter ? Carrefour, Intermarché … sont satisfaits les chiffres d’affaire sont au beau fixe, ceux qui ont raflé les stocks ont nourri leurs peurs et les autres, vous, moi, nous nous contenterons de ceux que nous avons cousu ou n’en mettrons pas ! Do

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5 mai 2020 2 05 /05 /mai /2020 19:35

Alors là je dis chapeau car je ne l'aurais pas dit mieux.

Et si je suis soulagée de voir la fin du confinement arriver, nous allons enfin pouvoir rechausser les godillots, de toute façon la plage est interdite, il y a quand même pas mal d'amertume, de peine quand on considère la façon dont ont été traités les "vieux". Au pays des droits de l'homme c'est d'autant plus révoltant !

Et dire qu'ils envisageaient de nous garder confinés ! Avant le Covid nous étions flattés, brossés dans le sens du poil, mais tout est dit ci après, aujourd'hui subitement on a la trouille ! On rêve d'un coin discret, de coloc entre "nous" ! Allez bonne lecture à vous ! Et transmettez !
 

l'OBS du 3 mai 2020...

Le Covid leur a donné un « coup de vieux » : la révolte des septuagénaires!

Ils ont entre 70 et 80 ans et sont en pleine forme, mais le Covid-19 les a fait basculer dans le camp des « vieux ». Et ça leur fiche le blues.

Jean-Pierre Rosenczveig, ancien président du tribunal pour enfants de Bobigny, a lancé une pétition afin de dénoncer ce qu’il considère comme une discrimination.

La petite musique a commencé à se faire entendre dès le début de l’épidémie. « Le virus est dangereux pour les vieux », ont dit les médias. Ils ne se sont pas tout de suite sentis visés. Les vieux, ce sont les dépendants, ceux qui sont en Ehpad et cumulent les pathologies. Mais pas eux, les enfants terribles de 1968, les petits princes des Trente Glorieuses, ces septuagénaires toujours en forme et actifs dans les associations (40 % s’y investissent), la politique (65 % des maires sont des retraités), ou encore dans les professions libérales, intellectuelles et artistiques.

Pas eux, qui voyagent gaillardement à travers le monde et emplissent les salles de ciné et de théâtre. Pas eux, dont les neurones fonctionnent à plein, dont les silhouettes toujours toniques sont entretenues grâce au yoga, au vélo ou à la randonnée… Les vieux, ce sont les autres.

La veille du confinement, ils ont profité pleinement du soleil, se sont promenés sur les quais de Paris, ont investi les plages et les chemins bondés, ont trinqué entre amis. Pour beaucoup, l’épreuve ne s’annonçait pas si mal. Avec l’âge, on est parfois trop seul, mais on a aussi souvent plus de confort, d’espace et de calme qu’un jeune couple avec sa marmaille.

Mais la petite musique s’est amplifiée, reprise en chœur par leurs propres enfants. « Attention, vous êtes une population à risques », « Vous êtes fragiles », ont martelé ceux-ci. « Restez chez vous », « Ne sortez pas faire vos courses ! », ont-ils aussi grondé face à la légèreté potentielle de leurs parents.

« On a senti la bascule du pouvoir, brutalement on est devenus les enfants de nos enfants », raconte Jacques Naudin, ex-directeur de banque de 76 ans. « Le rapport de force a changé », confirme Jean-Pierre Rosenczveig. A 72 ans, l’ancien président de tribunal pour enfants de Bobigny, figure de la protection de l’enfance, enseignant respecté à l’université, expert pour l’Unicef, auteur de quatre livres en deux ans, avoue en riant être obligé de « mentir » à ses enfants pour éviter de se « faire engueuler sur mes sorties ».

Il se reconnaît quelques faiblesses, « une légère surcharge pondérale, un peu de tension, un léger diabète », mais n’en revient pas d’avoir « été infantilisé comme ça. On n’a même pas encore préparé nos héritages qu’on est déjà à l’Ehpad forcé ! ».

Pour Jean-Francois Feuillette, psychanalyste, les « seniors » gênent la génération suivante.

Jean-François Feuillette, psychanalyste de 77 ans, sourit aussi lorsqu’il raconte s’être fait « interdire » sa résidence secondaire en Bretagne. « Les enfants nous ont conseillé de rester à Paris, parce que c’était plus sûr d’être à proximité d’un grand hôpital ! ».

Comme sa femme, universitaire, travaille elle aussi, il lui laisse l’appartement en journée et traverse Paris covidé pour rejoindre son cabinet de psy. Et ce sont ses enfants et petits-enfants qui profitent de sa maison de campagne. Etrange paradoxe, que vivent plusieurs de ses amis. « Rétrospectivement, on n’est pas sûrs d’avoir fait le bon choix », dit-il.

Groupes WhatsApp et apéros Zoom

Ils ont respecté le confinement. Les plus aisés et connectés d’entre eux (85 % des 60-74 ans et 47 % des plus de 75 ans ont un accès à internet) ont eu la chance d’affronter l’isolement avec les mêmes armes que leurs enfants. Ils ont pu échanger des mèmes, des vidéos rigolotes, des infos. Ils ont maintenu le lien avec leurs proches et leurs potes via des groupes WhatsApp, des apéros Zoom et autres rendez-vous Hangouts. Ils ont débattu des bienfaits supposés de la chloroquine et de la pénurie de masques. Et ont regardé passer les chiffres avec de plus en plus d’inquiétude.

L’âge médian des personnes hospitalisées est de 69ans. Et le taux de mortalité du coronavirus chez les septuagénaires est de 8 %.

« Chacun a autour de soi un ami ou une connaissance touché gravement par le Covid-19, cela fait réfléchir, confesse la mère de l’auteure de ces lignes, une hyperactive de 74 ans. Avant, je me disais : je vieillis, certes, mais je ne suis pas “vieille”, pas encore… Dans la rue, je croisais des vieux avec une canne, le soutien d’un bras plus jeune, les petits pas mal assurés, et je me rassurais en pensant que je n’en faisais pas encore partie. Et là, avec ce virus, j’ai compris que ces vieux décrits dans les médias, c’étaient mon mari, ma fratrie, mes amis… et moi. »

Michel Jonasz : « Le problème, c’est cette croyance collective qui dit qu’on doit s’abîmer quand on vieillit » Quand Emmanuel Macron a annoncé, le 13 avril dernier, que « les personnes âgées » (sans donner de limite d’âge) devraient « rester confinées même après le 11 mai », on a pensé à nos grands-parents. On a croisé les doigts pour qu’ils aient oublié d’allumer la télé ce soir-là et qu’ils se soient offerts quelques heures de répit. On a réécouté Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique, rappeler devant le Sénat que, pour lui, il fallait être vigilant « au-dessus de 65 ou 70 ans ». C’était le cas de Michèle (75 ans) ou de ce monsieur de 83 ans interviewé par C8. Et puis Emmanuel Macron, devant la polémique, s’est ravisé : « pas de discrimination », « responsabilité individuelle de chacun ». Mais au fait, c’est quoi être vieux ? En cherchant dans le paysage culturel français des septuagénaires qui ne « les faisaient pas », drôles et capables d’introspection, on est tombé sur Michel Jonasz, qui a sorti un album l’année dernière et qui devait boucler une grande tournée cet été. On lui a écrit pour lui demander s’il accepterait de parler de confinement et de joie de vivre. Il a dit oui, alors on s’est appelé un samedi matin.

Le choc a été violent. « Un coup de massue ! » confirme Viviane Baudry, 75 ans, qui a perdu son mari il y a vingt ans et vit seule dans une résidence « sympa » où les plus jeunes « gardent un œil » sur les plus âgés, où chacun cuisine des gâteaux pour l’hôpital du coin, où un groupe WhatsApp a même été créé, auquel elle participe « évidemment ».

Heureusement que Viviane a un « tempérament optimiste », car il en faut, de l’optimisme, pour surmonter ce soudain changement de camp. « Toute ma vie on m’a dit : Il faut que tu restes jeune ! Je ne prends aucun médicament, je fais de la gym, du Pilates, du stretching trois fois par semaine, je me teins les racines des cheveux… J’ai même interdit le terme vieux” à mes petits-enfants ! Et maintenant, on voudrait que je me regarde autrement ? Ça me vexe… » Et de conclure : « Depuis l’apparition du Covid-19, d’un seul coup, notre utilité sociale a été balayée. »

Au fil des semaines, la petite musique s’est faite plus angoissante. Ils ont regardé avec effroi les reportages sur les résidents d’Ehpad décimés. Ces Ehpad où certains d’entre eux ont parfois dû placer leurs parents. Ces Ehpad qu’ils aimeraient tellement éviter, dans vingt ans…

Ils ont entendu les rumeurs sur les hôpitaux. En Italie, mais aussi en France, dans les zones en tension, les soignants craignaient de devoir trier entre les malades pour l’accès à la réanimation. Mais selon quels critères ? « On entendait dire qu’il ne fallait pas avoir plus de 75 ans. Glaçant », soupire Marie-Claude Gras, âgée de… 75 ans. Elle ironise, parce qu’il vaut mieux en rire : « J’avais décidé de me laisser les cheveux blancs, mais peut-être vaudrait-il mieux les teindre à nouveau pour être sûre d’être du bon côté à l’hôpital ? »

Dans les esprits, de drôles de questions ont surgi. A partir de combien de rides est-on vieux ? Combien pèse l’existence d’un plus de 70 ans face à celle d’un « moins » ? Que vaut ma vie pour la société qui m’entoure ?

Geneviève Delaisi de Parseval, psychanalyste, a constaté qu’en deux mois ses patients ont eu l’impression de beaucoup vieillir. Geneviève Delaisi de Parseval, 79 ans, psychanalyste et membre de l’ association Vieux et chez soi, a continué ses consultations au téléphone pendant le confinement. Elle constate qu’en deux mois les septuagénaires ont eu le sentiment de beaucoup vieillir, et perçoit chez ses patients une « crainte de la stigmatisation, surtout chez les femmes. L’une a fait un cauchemar récemment : elle était dans un hôpital, on lui disait : “Madame, on est désolés, il y a un plus jeune plus intéressant que vous” ».

« Les hommes naissent et demeurent… » Le 13 avril, la petite musique est devenue carrément dissonante. Ce jour-là, le président Emmanuel Macron déclare : « Nous demanderons aux personnes les plus vulnérables, aux personnes âgées » notamment, de rester confinées après le 11 mai, date du « déconfinement » officielDeux jours plus tard, au Sénat (10 % des sénateurs ont plus de 70 ans), Jean-François Delfraissy, le président du conseil scientifique sur le Covid-19 (71 ans), précise que la mesure concerne les personnes « au-dessus de 65 ou 70 ans ». Devant leur poste, ils se sont tous étranglés. Sur notre répondeur et notre boîte mail, les protestations ont afflué. « Ça me ferait un bien fou de vous dire comment je vis ça. J’ai 76 ans je suis en pleine activité, je suis autoentrepreneure,… et vraiment… ahhhhhh ! C’est insupportable !! » s’est exclamée Daniela Conti, visiblement très énervée.

« Je suis allé regarder la “Déclaration des droits de l’homme et du citoyen”, raconte Jacques Naudin. J’ai noté que “les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits”. J’ai bien lu “DEMEURENT” ! C’est une atteinte grave aux libertés publiques ! Je n’ai pas envie de vivre dans une dictature de la santé édictée par les médecins. »

Les plus connus ont médiatisé leur colère. L’homme d’affaires Alain Minc (71 ans) a annoncé sur les ondes une « révolte en cheveux blancs ». Le philosophe Pascal Bruckner (71 ans) a crié à l’« ehpadisation générale des plus de 65 ans ». La psychologue Marie de Hennezel (73 ans) a dénoncé un critère « injuste, discriminatoire et anticonstitutionnel », le généticien Axel Kahn (75 ans) a persiflé sur Twitter : « Et alors aussi les personnes obèses ? Grosses ? Jusqu’à quel excès de poids ? Tous les hommes, plus fragiles que les femmes ? »

Sur Facebook, l’écrivain Hervé Hamon (73 ans) a appelé « les vieux » à « prendre le maquis ».

Jean-Pierre Rosenczveig a lancé une pétition intitulée « Il est interdit d’interdire aux vieux de sortir au prétexte qu’ils sont vieux ! ». Une reprise directe d’un slogan de Mai-68 (« Défense d’interdire »). Ce n’est évidemment pas un hasard.                                                                      

« Venir dire à des gens comme nous : “Vous devez obéir”, c’était la seule chose qu’il ne fallait pas faire ! tempête-t-il. Au nom de la santé publique, on brade de grands principes, notamment celui de la non-discrimination. Ça veut dire quoi, “âgé” ? C’est quoi, un vieux, sur le plan juridique ? A quel âge perd-on son discernement ? On a l’âge de ses artères, et pas celui de son identité ! Statistiquement, on meurt à 79 ans, et les femmes, à 85. Et on voudrait me confisquer six mois sur les sept ans à venir ? C’était une connerie majeure juridiquement, politiquement, sociologiquement. Intenable ! Mais comment ont-ils pu y croire ? »

Ils n’y ont pas cru longtemps. Très vite, face à la fronde, le pouvoir a rétropédalé et annoncé que les soixante-huitards seraient libérés en même temps que les autres. Mais, dans les têtes, le mal était fait. Pour beaucoup de nos interlocuteurs, cette crise révèle un malaise profond, sociétal.

« Ressortir les pavés de 1968 »

Dominique Beudin, 73 ans, dénonce « une génération qui cherche à ostraciser les vieux. Ils ont peur qu’on prenne du pouvoir. ils ne comprennent pas que les droits qu’ils ont aujourd’hui sont là grâce à nous ! ». Cette gérante de société, que le confinement a clouée au sol alors qu’elle s’apprêtait à partir à Nairobi donner une formation de gestion financière, parle même lors de notre discussion WhatsApp de « ressortir les pavés de 1968 ».

Jean-François Feuillette en a discuté avec des amis psys. « Nous gênons. Nous sommes la première génération à occuper le même espace que la génération suivante. Nous sommes actifs, et pas seulement pour garder nos petits-enfants ou visiter nos parents en Ehpad. C’est une place qui n’avait jamais existé auparavant. Et c’est ce que met en lumière cette crise. »

« Ils ont pensé pouvoir nous mettre sous cloche, analyse de son côté l’écrivain Hervé Hamon. Cette crise a mis à nu l’âgisme français. La société considère en gros que les plus de 50 ans ne sont bons à rien. Mon ami Michel Serres a dû quitter son poste à 65 ans et a été accueilli à bras ouverts à Stanford ! Je ne comprends pas qu’on mette de côté des pans entiers de vieux, considérés comme inutiles. Je suis vieux, mais je travaille huit heures par jour, je publie, je suis productif. L’âge et la dépendance sont deux choses différentes. Ma belle-mère a 93 ans, elle est anthropologue et donne encore des conférences. Mais j’ai un ami qui a eu un alzheimer à 58 ans. Tout reste à dire sur les vieux. J’espère que cette crise en sera l’occasion. »

Serge Guérin s’y attelle. En avril, le sociologue a lancé des «  Etats généraux de la séniorisation » contre ce qu’il appelle un « apartheid générationnel » :

« La crise sanitaire que nous vivons est aussi une crise morale. Au-delà de cet épisode brutal de la pandémie, c’est bien la question de l’image, de la place et de la voix des personnes âgées qui est à nouveau posée. Ce sont eux qui font l’avenir : 18 millions de Français ont plus de 60 ans aujourd’hui, 6 millions, plus de 75 ans ! »

Avec le déconfinement, Jacques, Jean-Pierre, Viviane, Marie-Claude et les autres vont pouvoir progressivement récupérer un peu de leur liberté, revoir leurs proches, même de loin, et au fil des mois, espèrent-ils, retrouver un semblant de vie normale. Mais l’ombre du Covid-19 risque de planer encore un bon moment au-dessus de leurs têtes, et avec lui, cette fichue étiquette : « fragile ».

Emmanuelle Anizon

Merci à Brigitte et Thierry pour cette contribution.

J.Paul pour l'équipe du ciné-club François Truffaut

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4 mai 2020 1 04 /05 /mai /2020 19:46

Autre retranscription que nous avons réalisée, celle d'une vidéo qui de manière claire, nette et admirablement conçue nous explique ce qu'est la vie que nous percevons, ce que nous sommes !

La cinquième dimension.

La vie, la matière comme nous la percevons est en réalité pure énergie, pure vibration. C’est une multitude d’ondes vibratoires plus ou moins denses qui constitue la matière. Ce que nous pensons être dur, solide ou infranchissable est en fait un amas de vibrations résonnant à différentes fréquences. Cette symphonie comprend et constitue tout ce qui existe, la création, l’Univers, Dieu… C’est notre essence, issue de la Source. C’est ce que nous sommes : une conscience plus ou moins densifiée dans la matière.

Cette onde vibratoire émet une fréquence à densité variable, de la plus basse à la plus haute. Elle est mesurable et nous la calculons en Herz (nombre de vibrations par seconde).

La planète terre a aussi sa vibration. On nomme « résonnance Schumann », la pulsation naturelle de notre Terre Mère. Elle se maintenait à 7,833 herz depuis que nous la calculons. En 2014, elle est montée à 8,5. En 2016, elle était de 16,5 herz. Aujourd’hui, elle vibre à 36,2 herz, quatre fois plus qu’à son origine, et ce, en moins de 5 ans. C’est une accélération fulgurante.

Donc, la terre et tous ses habitants vont irrémédiablement augmenter leur fréquence. C’est une montée collective vers une nouvelle Terre, une nouvelle humanité.

La neuropsychologie s’est penchée sur l’influence de l’augmentation de ces fréquences sur notre cerveau et ses capacités. C’est un réel changement évolutif. Chaque fréquence induit une attitude, une énergie qui lui est propre.

  • 7,833 = Alpha/Téta. Mou, lent, état neutre, passivité, docilité.

  • Entre 8,5 et 16,5 = Alpha. Détendu, tranquille. Des fréquences Beta commencent à se manifester (plus rapide et alerte) ; plus éveillé.

  • Entre 12 et 15 = rythme sensorimoteur. Etat idéal pour l’éveil de conscience. Processus cognitif clair et précis. Conscient et attentif, en harmonie avec nous-mêmes et les autres.

Aujourd’hui, nous avons calculé des pics à plus de 36 herz.

On dit que la Terre est déjà passée à la cinquième densité et ce sera bientôt notre tour. Nous sommes proches d’une planète libre et consciente. Au bord de la chute d’un système de croyances qui nous empêche de voir la vérité.

C’est un grand travail personnel et collectif.

Nous vivons un moment magique, possiblement douloureux, mais nécessaire. Nous avons choisi de vivre cette expérience. A nous de la vivre en conscience et avec Amour.

La fréquence est donc l’oscillation de la matière. Chaque personne, être vivant, objet, pensée, mot, est constitué de fréquences. L’Univers tout entier est vibration ; on peut ainsi mieux entrevoir la notion d’unité.

Ce qui nous différencie les uns des autres, c’est notre densité.

Ainsi, l’onde d’une pierre résonne à très basse fréquence ; son signal est différent du nôtre. Sa matière se manifeste différemment, plus dense.

Nous sommes des consciences expérimentant la matière. Les différents niveaux de conscience créent différents paliers qui s’élèvent vers des densités de plus en plus subtiles. Nous appelons ces paliers « dimensions ».

Le monde est ainsi constitué de différentes couches qui créent différents mondes. Nous existons dans toutes les densités à la fois. Nous sommes des êtres multidimensionnels. La différence sera « là où nous porterons notre attention ».

  • 1 D. Minéraux. Ce sont des consciences qui n’ont pas conscience d’être. «Je suis, mais je ne sais pas que je suis. C’est une fréquence lente et basse.

  • 2 D. Etat de conscience linéal, enfermé dans la dualité ; ce sont des êtres uniquement basés sur la survie et la reproduction. C’est le début de la conscience de séparation. Beaucoup d’êtres vivent dans cette dimension sur ce plan, et même encore beaucoup de personnes sur Terre.

  • 3 D. Etat de conscience encore assez linéal, peu différente de la 2 D, toujours basé sur la notion de survie et de reproduction, mais où l’idée est plus claire : « je sais que je suis ». J’ai un ego conscient ; il y a moi et les autres. C’est ici que nous vivons. Il s’agit d’un état vibratoire assez imité où la perception de la réalité est biaisée, caricaturée. Ce n’est pas notre nature complète ; elle fait partie de nous et constitue la structure de tous les plans multidimensionnels. Nous sommes restreints à voir les choses dans cette densité, ignorant qui nous sommes, la vérité de notre univers et de ses lois. Nous sommes pris au piège, ignorant notre force et notre pouvoir créateur.

  • 4 D. C’est une zone intermédiaire qu’on appelle Astral ou bas Astral. Beaucoup d’êtres y vivent, proches de nous, élémentaux, âmes errantes… C’est la 3 D « haute fréquence ». L’humain oscille entre la 2D et la 4 D, en fonction de son niveau vibratoire.

  • 5 D. C’est la fréquence à laquelle nous devrions vibrer. Dans cette zone, il existe toujours une identité, mais plus un « ego »tel qu’on le connaît. C’est un « je suis » éveillé et conscient. C’est le début de la conscience : « je fais partie d’un tout ».

Je sais que j’ai, que j’ai eu plusieurs identité.

J’ai un clair souvenir de mes vies antérieures les plus proches.

Je sais qu’il existe une multitude d’êtres et de civilisations différentes dans tout l’Univers et une multitude d’Univers différents.

Je connais le sens de mon existence, je me souviens.

Je suis connecté à mon être supérieur et à mes mémoires.

Mes sens sont décuplés.

J’ai le plein pouvoir de mes capacités (clairvoyance, télépathie, matérialisation consciente de ma réalité, pouvoir de guérison).

C’est notre VRAIE nature. Nous sommes proches de basculer TOUS en cinquième dimension.

  • 6 D et plus. Nous sortons de la matière telle que nous la connaissons. Il n’y a quasiment plus que de l’énergie, la manifestation d’une intention. Toutes les pensées sont matérialisées instantanément. Ici aussi, les êtres ont des rôles attitrés : beaucoup servent à nous aider, à nous accompagner. Dans ces sphères subtiles, vivent les anges, les guides, les saints…

Nous existons dans toutes les sphères, de la plus dense à la plus subtile. Combien y a-t-il de dimensions exactement ? Il s’agit probablement d’une spirale sans fin dont la partie la plus haute nous enverra à la partie la plus basse… ainsi, d’univers en univers ??? Et jusqu’à retourner à la Source, peut-être ?

Il est important de comprendre que nous sommes maîtres de la fréquence que nous émettons.

La vibration, c’est moi, mon corps, mon esprit, mes pensées, mes mots.

C’est moi dans mon quotidien qui décide consciemment ou pas de vivre ce que je veux. Je suis totalement responsable de ce qui m’arrive. J’émets une fréquence et je reçois une réponse à son niveau.

Il est important de connaître les lois universelles pour être en phase avec notre monde. Elles sont des outils précieux et magiques… ou des pièges tragiques.

L’ignorance de la loi d’attraction et de son fonctionnement des conséquences tragiques sur l’humanité. Il s’ensuit un cercle vicieux de souffrance auto générée à notre insu. Les pensées négatives entraînent une baisse de fréquence et notre énergie est densifiée. Cette onde négative attire le même genre de vibration. On vit alors dans une bulle grise de négativité, esclave des énergies négatives, rejetant la responsabilité de notre mal être à des causes extérieures. Dépression, solitude, désamour… Addictions.

Notre responsabilité est énorme.

Nous sommes créateurs de notre monde, antenne de notre propre énergie.
Chacune de nos actions a une répercussion directe sur notre environnement. Nous sommes tous responsables de l’énergie planétaire. L’état actuel de la terre est le reflet de notre propre intérieur. Tout est fractal : si nous changeons nous-mêmes, nous changeons le monde.

Sortons du rôle de victime et de non responsabilité. Soyons souverain de notre vie, maître de nos perceptions et créateurs de notre réalité.

Par chaque geste, mot, pensée, émotion, action, créons le monde à notre image.

Notre perception ne peut voir au-delà de notre propre densité. Mais invisible ne veut pas dire irréel ! Ainsi, les UV, les infra rouge, etc, sont invisibles et pourtant, ils existent bel et bien. Ces ondes ont un réel impact sur la vie terrestre. Nous vivons dans une soupe électromagnétique très dense ; nous sommes ainsi volontairement maintenus à basse fréquence, restant endormis et manipulables. Nous sommes limités à la perception du monde matériel en 3D qui nous laisse croire être la seule et unique réalité. En percevant une infime partie de la réalité, nous vivons dans une sorte d’illusion, voire d’ignorance totale de notre véritable essence.

Fées et lutins existent bel et bien ! Nous avons juste perdu la capacité de les voir. Ils existent dans des dimensions supérieures à la nôtre. Eux peuvent nous voir et même baisser volontairement leur fréquence pour se laisser voir et communiquer avec nous. Ce genre de contact est de plus en plus fréquent, surtout avec des êtres proches de notre densité car la barrière est de plus en plus mince.

Chacun d’entre nous, de manière individuelle et collective travaille au grand nettoyage et à la reconnexion de nos êtres. Nous sommes en train de nous reconnecter à nous-mêmes, à notre essence multidimensionnelle, immortelle et divine. Nous nous réapproprions notre pouvoir, télépathie, clairvoyance, clairaudience, mémoire des vies passées, etc…).

Aujourd’hui, les manifestations sont quotidiennes et les témoignages se synchronisent. On ne peut plus nier cette évolution.

Fréquence basse = dualité.

Elévation = se rapproche de l’Unité.

Une conscience, incarnée ou non sera plus ou moins subtile ou dense, lumineuse ou obscure. Nous sommes maîtres de laisser passer la Lumière ou pas, libres de choisir l’expérience que notre âme veut vivre.

Soyons responsables, vivons en conscience et attention, alignés à nous-mêmes et aux lois universelles pour attirer la Lumière, les énergies positives, les êtres bienveillants et devenir créateurs de notre vie.

Déprogrammons nos croyances limitantes, ouvrons nos yeux au-delà du connu pour voir au-delà de la matrice. Nous avons le pouvoir d’être heureux et en paix, de vivre en abondance et en amour, sans peur ni souffrance, car conscients de notre Essence divine.

La cinquième dimension, c’est s’ouvrir à sa réelle Essence, monter en fréquence pour l’ascension de notre âme et redevenir les humains responsables, lumineux et abondants que nous sommes. C’est consciemment sortir de la matrice et libérer la terre du piège dans lequel nous sommes pris.

Nous avons le pouvoir.

C’est en nous.

C’est maintenant.

https://www.youtube.com/watch?v=RswT9YXb_QM&feature=share&fbclid=IwAR13QX1XPEwxp3jZYO_5JX5sJoBiPs4p72cZ8pmeHbTeevRcVQ9aqreLbfY

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4 mai 2020 1 04 /05 /mai /2020 19:35

Ceci est la retranscription d'une conférence, nous la partageons car il nous a semblé que cela pouvait aider à se positionner et à comprendre ce qui se passe actuellement !

Bonne lecture

Savoir à quel jeu on joue pour pouvoir jouer gagnant !

Historique

Le dérapage vers une Humanité sous contrôle a vu le jour au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 quand toutes les informations émanant des médias notamment vont commencer à être. La modélisation de cette société sous surveillance a démarré aux USA avec la création du « Patriot Act » par GW Bush et un peu partout un pouvoir de plus en plus centralisé.

Néanmoins des voix ont commencé à s‘élever pour dénoncer un pouvoir s’appuyant sur le mensonge et la division, un pouvoir détenu par 1/10 000 de la population.

Pour avoir une idée exacte de ce qui a commencé à se mettre en place lire Naomi Klein, « La stratégie du choc ». 

La seconde grande secousse s’est produite en 2009-2010 avec l’épidémie de grippe H1N1. A cette période les médias (niveau mondial), le gouvernement français (en la personne de R Bachelot), mais aussi l’OMS se sont répandus en propos alarmistes allant jusqu’à annoncer 20 millions de morts à l’échelon mondial.

La situation sous contrôle, moins dramatique qu’annoncée a semé le doute. La Pologne qui avait sollicité l’OMS pour avoir des réponses précises portant sur le vaccin et son innocuité a refusé cette vaccination en l’absence de réponse. La réaction de la population française suspectant un mensonge d’état a incité le gouvernement français à renoncer à toute vaccination afin de ne pas provoquer de mouvements sociaux !

La stratégie pour la crise que nous vivons maintenant a totalement changé par rapport aux crises précédentes.

En France deux types de discours ont été tenus créant un état de sidération.

D’abord alarmiste « nous sommes en guerre » puis rassurant « pas de masque », auquel répondait le catastrophisme des médias ; un fonctionnement sur le mode injonctions paradoxales. Le cerveau rationnel enregistre l’absence de danger, le cerveau émotionnel est pris aux tripes, un état de sidération s’installe qui conduit la population à demander à être protégée.

E Macron ne parle pas de confinement mais E Philippe l’annonce pour 15 jours, la mesure soit-disant provisoire ne génère pas de panique !

La durée de confinement s’allonge, personne ne pipe vraiment, un confinement contraire au bon sens puisque par ailleurs il est recommandé de s’aérer. La population entre dans la survie ballottée de contradiction en contradiction comme les masques sont inutiles mais il faut mieux en mettre. Les médias ne parlent que de vaccination … la survivance !

Les gouvernements ont tout fait pour créer la confusion, ils ne comptaient cependant pas que quelques « cailloux » viendraient gripper les rouages.

1. Didier Raoult qui a fait douter que les anti viraux et le vaccin soient la solution et a mis à mal le plan en place. Le débat autour du traitement à base de l’Hydroxychloroquine décrié en France mais utilisé partout ailleurs avec succès, son interdiction puis son autorisation tardive, la découverte que cette substance peu onéreuse et largement utilisée avait été interdite par Agnès Byzun en janvier ont contribué à faire naître le doute.

Ses propos sur la vaccination ont éclairé les esprits à commencer par le fait que la population bénéficiera d’une immunité de groupe lorsque l’épidémie sera passée, comment imposer en toute logique un vaccin ?

Sauf à considérer considère que l’OMS est pro vaccination et que :

  • en 1970 le budget de l’OMS venait à 79 % des pays

  • en 2020 le budget de l’OMS est à 80 % de fonds privés : Bill et Melinda Gates/GAVI* (dont Bill Gates est le plus gros actionnaire, Rockefeller)

  • que le chantre mondial de la vaccination est Bill Gates, qui décide par le biais de l’OMS des politiques des médecins !

2. Les révélations du médecin personnel de Bill Gates qui après avoir démissionné a révélé des faits interpellants comme par exemple le refus de Bill et Melinda Gates de faire vacciner leurs enfants.

3. Les révélations contenues dans le livre de Lionel Astruc concernant la fortune des Gates. Si Bill et Melinda Gates passent pour des mécènes il faut savoir que les dons émanant de leur fondation proviennent uniquement des dividendes générés par les entreprises dans lesquelles les Gates placent leurs fonds (Monsanto, Coca Cola, Mac Donald’s, armement, énergies fossiles, laboratoires pharmaceutiques …). Ces dons alloués à certains pays doivent impérativement servir à des achats ciblés (comme semences hybrides ou vaccins par exemple).

4. Les actions en justice en lien avec les mensonges vaccinaux.

  • L’avocat Robert F Kennedy Junior travaille à recenser les dégâts vaccinaux commis par la politique de Bill Gates dans les pays nécessiteux (En Inde 496 000 enfants paralysés suite à une vaccination massive contre la Poliomyélite).

  • Des pays se regroupent (Tanzanie, le Mexique, l’Inde, Les Philippines, le Nicaragua ...) et mènent une action en justice pour crime contre l’humanité Bill et melinda Gates sont accusés de crime contre l’humanité.

6. Au niveau de la population des réactions sont de plus en plus nombreuses :

  • Les lanceurs d’alerte sont entrain de se fédérer.

  • Des cabinets d’avocats reconnaissent la validité des doléances et prennent en charge des plaintes ciblées (décrets interdisant les soins aux personnes âgés et sédation au Rivotril sans consentement).

  • Des médecins se regroupent pour exiger la liberté d’appliquer les traitements qui leur semblent adéquats au nom du serment qu’ils ont prêté et refusent que l’ordre des médecins soit à la botte du gouvernement.

  • Les églises (au niveau mondial) par la voix de prêtres commencent à libérer leur parole.

Les protagonistes de ce nouvel ordre mondial ont à ce jour abattu toutes leurs cartes. Leur plan s’articule autour de quelques points très précis déclinés à partir de :

ID2020.org qui est conçu pour remplacer le manifeste de Abraham Maslow* (https://id2020.org/) est une alliance de partenaires public-privé y compris des agences des Nations Unies et la société civile qui ont créé un programme d’identification électronique utilisant la vaccination généralisée comme plateforme d’identité numérique. Leur credo est que chaque être humain doit avoir la capacité de prouver à tout moment et à n’importe qui son identité. Parmi les fondateurs se retrouve : le GAVI* (Bill Gates pour mémoire et Rockefeller), Microsoft (Bill Gates), Amazon (Bill Gates et Rockefeller) …

A noter que en 1920 le financier Rockefeller proposa de financer les facultés de médecine des USA à la condition que soient supprimer des cursus universitaires l’enseignement de certaines médecines : homéopathie, acupuncture, MTC … et d’autres médecines non allopathiques !

Or l’identité numérique passe par :

  • le téléphone portable (imposée aux québécois à l’automne) proposé d’abord sous forme de volontariat en France en escomptant sur une seconde vague annoncée par E Macron (ils en prévoient 7 !).

  • le déploiement de la 5G associé à l’usage du Smartphone pour pouvoir suivre les déplacements des citoyens en permanence, repérer les éventuels contacts (fortuits ou non), envoyer une alerte et imposer l’auto-confinement.

  • les drones qui vont de paire avec la 5G qui offre la vitesse de transmission nécessaire aux drones pour la reconnaissance faciale.

  • le QR Code, cyber sécurité qui permet comme en Chine de surveiller les domiciles des personnes (nombre de personnes, allers et venues, activités).

  • un système de « puçage » avec injection d’un gel nanotechnologique qui contrairement à la puce traditionnelle ne peut être retiré car se « fondant» à l’os. Il offre la possibilité d’influer les pensées, le mental, les émotions des humains et de prendre le contrôle à distance. La population a été à dessein sensibilisée à cette technique avec le puçage des animaux et surtout avec l’industrie cinématique d’Hollywood ! La multiplication des films apocalyptiques Hollywoodiens présentant le vaccin comme la solution n’est pas due au hasard !

Pour amener les humains à entrer dans les plans élaborés par l’OMS, Bill Gates, Rockefeller et nos différents gouvernements et imposer des solutions qui autrement seraient rejetées, différentes stratégies sont élaborées :

  • jouer avec la peur pour amener la population à être demandeuse d’un vaccination

  • instaurer une précarité économique et compter sur notre envie de rattrapage économique pour contraindre la population à accepter les tests de dépistage (même s’ils ne sont pas fiables – absence de réponse immunologique même en cas de contamination, réponse positive tardive ou fausse …), les masques et le contrôle numérique !

C’est un hold-up de l’Humanité !

Il y a pourtant des raisons de se réjouir, de bonnes nouvelles qui donnent espoir :

  • la découverte par le Pr Montagnier et le Pr que le Covid est un vaccin fabriqué

  • les cabinets d’avocats qui traitent les plaintes déposées contre les mensonges vaccinaux etc. (voir précédemment), ceux qui travaillent à rendre caduques les amendes administrées depuis le début du confinement

  • Les états qui attaquent Bill Gates pour crime contre l’Humanité

  • l’existence de ces différents plans connue depuis 2010 dévoilée par des américains et dont nous possédons les publications.

  • les actions, les publications, les recherches, les alertes de l’association Robin des Toits

  • les « éveilleurs » comme Tall Schaller, Silvano Trotta, JJ Crêvecoeur, Youssef Hindi (spécialiste des religions)…

  • les réactions de plusieurs villes qui ont renoncé à déployer la 5G (Bruxelles par exemple)

  • le refus des logiciels de reconnaissance faciale par la ville de San Francisco (capitale de la Silicon Valley)

Ce qu’il est conseillé de faire ou de ne pas faire :

  • refuser de télécharger l’application pour smartphone

  • refuser le port d’un éventuel bracelet

  • refuser les tests (20 % de fiabilité et un encodage sur smartphone pouvant durer jusqu’à 5 ans)

  • refuser le masque** (sauf si l’on est soi-même malade) dès lors que l’on a pris soin de sa santé et que l’on n’a pas de pathologie associée (99 % des morts en Italie avaient plusieurs pathologies)

  • ne pas céder aux provocations et renoncer à la violence !

  • mettre en place des actions non violentes

  • faire pression sur les élus en portant tout document susceptible de les éclairer à leur connaissance

  • soutenir les médecins qui s’opposent aux diktats d’états

  • à l’avenir utiliser le masque comme moyen de prévention dès que l’on est atteint d’un maladie contagieuse

  • avoir présent à l’esprit que même si l’on croit ne rien avoir à cacher la privation de liberté prend des aspects multiples comme en Chine où ne pas respecter un feu rouge en tant que piéton fait perdre des points sur son crédit de points et dénoncer le voisins qui brûle des feuilles en fait gagner (en sachant que ces points conditionnent l’accès aux soins, aux voyages ...)

* Abraham Maslow considéré comme le fondateur de l’approche humaniste il est connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins représentée sous la forme d’une pyramide

**à chacun de se déterminer selon son ressenti mieux vaut prendre plus de précautions que de vivre dans la peur !

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