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22 septembre 2015 2 22 /09 /septembre /2015 16:36
Tout est possible quand on sait dire NON

J'ai compris très jeune que s'opposer frontalement à toute forme d'autorité n'était pas le top si l'on souhaite être tranquille. Ne rien dire, ne pas faire de vagues, se faire oublier me semblait de loin préférable.

Cette tactique s'est révélée positive notamment dans le cadre de ma vie professionnelle où j'ai réussi à enseigner comme je le sentais, et comme je croyais juste, sans que la hiérarchie n'y trouve à redire.

Par contre la mise en oeuvre dans la vie privée s'est révélée plus risquée avec des conséquences qui auraient pu être moins anodines en matière de développement personnel.

Pour avoir la paix, ne pas avoir à se justifier tout le temps, on en arrive rapidement à se réfugier dans le mensonge, l'omission, plus confortables que d'avoir à s'opposer et dire non, sauf qu'un mensonge en entraînant un autre, on perd vite de vue qui l'on est et l'on prend l'habitude de ne plus être soi.

Les raisons sont multiples qui expliquent ce type de fonctionnement. Ne pas déplaire, être aimé(e) ou préféré(e), ne pas être seul(e), autant de motifs qui dès notre jeune âge nous formatent à notre insu jusqu'au jour où l'on se perd soi-même de vue. Les conséquences sont aussi diverses que les personnalités.

Cette victimisation se traduit par des violences conjugales, des maladies ou des troubles du comportement, des échecs répétitifs, des addictions ...

Une spirale infernale se dessine à moins que ce soit une lente remontée vers la lumière à la faveur d'un élément déclencheur. Souvent dans un premier temps, le travail de réveil se fait à l'insu de l'intéressé(e) jusqu'à la petite étincelle qui va lui faire comprendre que la lumière est proche.

La petite étincelle c'est le NON que l'on va s'autoriser à dire. Un non qui équivaut à STOP ! Savoir dire non, refuser d'être la victime c'est se respecter mais aussi respecter l(es) autre(s).

Celui qui accepte une situation qui le contraint est amer, en colère ... mais le plus souvent sa passivité aggrave, justifie la toute puissance de l'autre.

Dire NON c'est rendre justice aux deux parties qui s'affrontent. Quand le NON sonne juste, il ouvre à la "renaissance".

Personnellement si nous n'avons rien vécu d'aussi grave, pendant des années nous n'avons pas osé dire NON à tous ceux qui nous utilisaient. Nous inventions des empêchements pour nous libérer de ces obligations et incidieusement cela est devenu un mode de fonctionnement parfaitement rôdé.

Cela aurait pu perdurer mais comme la vie est bien faite, elle nous a offert l'opportunité de partir vivre dans le sud où nous avons découvert la liberté de vivre en privilégiant ce qui nous était essentiel.

Du jour où nous avons compris qu'être soi ne supportait pas d'attendre, que la vie s'écrivait au présent, dire NON à ce qui ne nous convenait pas s'est imposé comme la meilleure façon de se respecter soi et l'autre par la même occasion.

Dire NON a des conséquences qui vont plus loin encore et mieux qu'un longue digression je vous propose cet article à découvrir en cliquant sur le lien en fin d'article. Ne vous en privez pas, ce témoignage est exceptionnel et si je ne connaissais pas l'histoire de celle qui l'a écrit et témoigne ici que tout est possible, j'aurais pu douter. Rien n'est définitif tant que la vie palpite ! Et pour reprendre les paroles de Joéliah, une amie, que le meilleur soit ! Et clique !

http://lejour-et-lanuit.over-blog.com/2015/09/parcours-de-guerison.html

Do

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18 septembre 2015 5 18 /09 /septembre /2015 19:21
De l'autre côté

Ce que je vais vous compter là est une histoire vraie, pas de la littérature, un témoignage !

Coralie vit au Canada et vient de temps à autre passer des congés en France où elle réside chez ses grands-parents. Lors de son dernier séjour, elle eut l'occasion de rencontrer un ami de sa famille qu'elle ne connaissait pas jusqu'à présent, notre voisin Pierre.

Au cours de cette visite, elle vit tout à coup apparaître dans le jardin un oiseau blanc avec à ses côtés, une femme qui resta là un certain temps puis repartit aussi discrètement qu'elle était venue. Coralie tut la présence de la visiteuse et ce n'est que de retour chez ses grands-parents qu'elle fit le récit de ce qu'elle avait vu et du sentiment d'étrangeté qui depuis ne la quittait plus.

Qui donc était cette femme, d'un certain âge, dont le visage était déformé ? La joue enflée provoquait une torsion de la bouche qui l'empêchait de s'exprimer autrement qu'en écrivant sur une ardoise, comme elle l'avait montré gestuellement à Coralie !

Pour ses grands-parents le déclic fut instantané. Coralie avait vu Mathé. Ils lui expliquèrent que cette dernière était la femme de Pierre. Souffrant d'un cancer de la sphère ORL, elle avait subi une opération qui lui avait laissé de lourdes séquelles l'obligeant à communiquer par écrit avec son entourage.

L'explication bien que lumineuse ne rasséréna cependant pas Coralie car, lui précisèrent ses grands-parents, Mathé était décédée depuis bientôt 2 ans ! Bien que coutumière de ces visions, du haut de ses 15 ans Coralie avait toutes les peines du monde à s'y habituer !

Quelque jours plus tard Pierre a été mis au « parfum » mais n'a pas été étonné. Une seule chose cependant l'interpellait et le chagrinait : Mathé était elle toujours aussi lourdement handicapée ?

C'est alors qu'il est venu nous trouver.

Nantie d'un « témoin » fiable, un objet ayant appartenu à Mathé, à la demande de Pierre, je suis entrée en contact par le biais du pendule avec cette âme que nous savions ascensionnée et j'ai pu le rassurer. Mathé va bien mais elle voulait que les siens sachent qu'elle était toujours près d'eux. Se faire reconnaître de cette manière était pour elle la seule façon de signaler sa présence.

Je tenais à vous raconter cette tranche de vie un peu particulière au cas ou certains d'entre vous douteraient que de l'autre côté cela continue ! L'Amour n'a ni fin ni commencement. Il est vivant comme ceux que l'on a aimé. Do

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 20:44
Minibib Longville
Minibib Longville

Tout au cours de notre virée, nous avons rencontré … devinez quoi ? Nous avons rencontré les petits frères et sœurs de notre Minibib.

Sierck les bains
Sierck les bains

A Sierck les bains, point de rencontre de 3 frontières : Allemagne, Luxembourg et France.

Dasburg
Dasburg

A Dasburg, en Allemagne, juste de l'autre côté de l'Our.

Berbezit
Berbezit

A Berbezit dans les Monts du Forez.

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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 20:11
The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

The Family of man est une exposition de 503 photographies Noir et Blanc.

The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

Exposition légendaire de l'histoire de la photographie, inscrite au registre de la mémoire du monde de l'Unesco, 273 photographes, connus ou anonymes, issus de 68 pays ont donné vie à ce manifeste pour la Paix.

The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

L'exposition a été conçue par Edward Steichen pour le MoMA de New-York dont il était directeur de la section photographie. Artiste américain d'origine luxembourgeoise l'inauguration de cette manifestation a eu lieu en février 1955. Elle a ensuite tourné pendant 10 ans dans le monde entier pour le bonheur de plus de 10 millions de visiteurs.

Château de Clervaux Luxembourg
Château de Clervaux Luxembourg

Offerte au Grand Duché au décès de Steichen, elle est gérée par le Centre National de l'Audiovisuel luxembourgeois (CNA) et a été installé dans le château de Clervaux. Manifeste pour la Paix, Steichen, fortement ébranlé par les horreurs de Nagasaki et Hiroshima, a voulu montré l'égalité fondamentale entre les humains et l'iniquité de la guerre ! Diantre, cela sonne bizarre aujourd'hui !

The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

Toutes le photographies sont des originaux, restaurées certaines portent pourtant les traces de l'engouement qu'elles ont suscité. De l'une à l'autre nous passons du rire aux larmes.

Même perplexité !
Même perplexité !

C'est beau, c'est intense en émotion et ce qui est extraordinaire, c'est que bien qu'il n'y ait aucune touche colorée, tout est Lumière. Avec la photographie Noir et Blanc, rien qu'au moment du développement d'un cliché, la vie palpite avec une intensité jamais égalée et si la chambre noire porte ce qualificatif, pour moi, ce ne fut jamais mon ressenti. Développer une photo c'est prendre un bain de lumière, ni plus ni moins que peindre avec ces ocres que j'affectionne.

The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

Steichen nous livre la condition humaine dans un monde sans frontière. Frères en humanité !

The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

Tous les moments emblématiques de la vie, naissance, mort, rituels et fêtes se déroulent sous nos yeux prouvant s'il en est besoin que bien que différents nous sommes tous parents ! Steichen nous livre ce qui donne à l'humain toute sa dimension dans la joie, la compassion …

The Family of man, Château de Clervaux au Luxembourg

Si vos pas vous mènent à Clervaux, n'hésitez pas ! Family of man, c'est un moment unique et si en prime vous êtes nostalgique de la photographie argentique Noir et Blanc, c'est magique. En visionnant l'expo, je me suis rendue compte que si j'aime faire des photos je me régale bien moins maintenant que je ne les développe plus. A Clervaux tout l'art du photographe de la prise du cliché à son tirage est palpable. Regret !

Do

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 16:24
Esch sur Sure Luxembourg
Esch sur Sure Luxembourg

Rapido-presto, un inventaire à la Prévert pour brosser à grands traits un grand tour au Luxembourg et un vagabondage dans nos verts bocages.

A Valmy
A Valmy

Des rencontres improbables et magiques, des randos, des expos mais aussi des châteaux sur des routes semées d'histoires, petites ou grandes. Un voyage dans les pas de grands hommes dont un qui s'est fait raccourcir et encore et toujours le Grand Condé ! A ce stade ce ne peut plus être un hasard !

Wormeldange et la Moselle
Wormeldange et la Moselle

Un vagabondage sur les routes des grands crus où les noms s'égrainent avec délectation. Vins de Bourgogne, des coteaux mosellans, de Champagne, j'aime vos noms moi qui pourtant vous préfère le Rhum ou le muscat pet de Corse !

Et au milieu coule la Semois !
Et au milieu coule la Semois !

Une virée pour retrouver l'arrière grand-père paternel, retourné « au pays » pour y reposer en toute discrétion à Muno, province du Luxembourg en Belgique sur les bords de la Semois.

St Ilpiz non loin de Brioude
St Ilpiz non loin de Brioude

Une balade qui a eu son point d'orgue dans les monts du Forez à Saint Ilpiz et nous a vu passer à Lodève juste avant que l'eau du ciel ne coupe la Méridienne au Bosc. Un voyage dont il nous reste un bouquet de noms riches en couleurs et en saveurs.

Plan confiture, dans le fourgon près de Nancy
Plan confiture, dans le fourgon près de Nancy

La Lorraine et ses mirabelles, Echternach (à vos souhaits), Clervaux, Vianden, Herbeumont, le copain Godefroy (de Bouillon bien sur), Varennes et Sainte Ménehould, Valmy, Châlon en Champagne et le Centre Afrique !!!, Berbezit.

Eligriv
Eligriv

Ah, au fait j'oubliais de vous présenter notre mascotte, Eligriv !

Mais sans doute l'avez-vous repéré ?

Do

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 14:34
Mémé, de Philippe Torreton. Encore de la lecture!

Mémé

de Philippe Torreton

aux éditions L’iconoclaste

C’est un tout petit livre, farci d’amour et d’humour.

Dans une langue à la fois simple et poétique, Philippe Torreton nous dresse le portrait d’un des piliers de son enfance, sa grand-mère.

Sa « Mémé ».

Ce livre plongera dans l’émotion toute personne qui, immanquablement, y reconnaîtra une mère, une grand-mère, une tante… quelqu’un de très proche en tous les cas. « Mémé », c’est l’enfance qui ressurgit à chaque page, sous l’œil vigilant, attentif, énergique et rassurant d’une « sacrée bonne-femme », endurcie par une vie sans indulgence, une vie de sacrifice à sa terre et à sa famille.

Si j’apprécie l’acteur, je ne connaissais pas l’écrivain, Philippe Torreton. Une belle découverte, donc ; j’aime ses mots, ses expressions imagées ou cocasses qui évoquent si bien la vie toute simple de sa « Mémé », transpirent l’amour et l’admiration qu’il a pour elle. Et je peux vous dire que s’il m’est souvent arrivé de sourire en lisant ces lignes, les dernières m’ont franchement noué les tripes.

A dédier à toutes les Mémés (Mamie, Grand-mère, Grand-maman, Mutti, Mamina, O’ma, etc…) de la création, dont on oublie un peu trop facilement à la fin de leur vie tout ce qu’on leur doit ! Fredo

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 13:48
Un amour impossible, de Christine Angot

UN AMOUR IMPOSSIBLE

Christine ANGOT

(Paris, Flammarion 2015)

Dans ce roman (bien construit) on peut distinguer plusieurs parties (plusieurs amours), comme dans une boucle de vie. Châteauroux fin des années 50, Pierre intellectuel bourgeois et Rachel Schwartz jolie jeune fille juive issue d’un milieu populaire travaillant à la Sécurité Sociale vivent un amour fou. Il veut un enfant d’elle mais par contre il ne l’épousera jamais. Rachel accepte ce marché de dupes. Après la naissance de Christine débute une seconde partie où mère et fille vivent, modestement certes mais, dans une relation remplie d’amour et de tendresse. Le père (marié et père de famille) se manifeste épisodiquement. Puis vient l’adolescence et bientôt le père accepte de reconnaître Christine (jusqu’ici « née de père inconnu », Christine Schwartz devient Christine Angot). Père et fille se voient régulièrement. Christine découvre un autre milieu social, intellectuel. Quand elle rentre d’un week-end chez son père elle semble lointaine, inaccessible, la relation mère-fille devient difficile malgré la tendresse toujours présente. Rachel se méprend sur le comportement de Christine, se sent à nouveau rejetée, inférieure. Jusqu’au jour ou un ami de la famille lance une bombe et révèle la vérité à Rachel (cette vérité, le lecteur la connaît déjà, elle a fait l’objet de deux précédents livres de Christine Angot, « l’inceste » et « deux semaines de vacances » que, personnellement je n’avais pas lu). Vient enfin la dernière partie, la plus bouleversante, celle de l’explication entre mère et fille. Il est très difficile de faire passer dans un résumé la force de frappe de ce livre. Christine Angot réussi à nous émouvoir au plus profond avec une écriture belle simple et minimaliste. Ce livre - à ne pas rater - vous poursuivra longtemps.

Mi

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30 août 2015 7 30 /08 /août /2015 19:25

L'heure est au bilan car voici maintenant un an que nous avons nos panneaux solaires et le moins que l'on puisse dire est que notre consommation a diminué de moitié.

Alors, contentes allez-vous penser ?!

En ce qui concerne notre impact sur la planète, nous avons toutes les raisons d'être satisfaites mais …

Il y a un mais …

mais côté facturation ce n'est pas vraiment la même chanson !

La diminution est vraiment minime.

EDF augmente bien ses tarifs, ce n'est pas une vue de l'esprit.

Conclusion, nous dépensons moins mais payons plus !

CQFD

Do

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29 août 2015 6 29 /08 /août /2015 11:06
Berezina, de Sylvain Tesson

BEREZINA Sylvain TESSON

(Ed. Guérin, 2015) Octobre 2012

Deux cents ans exactement après la défaite de Napoléon aux portes de Moscou et la tragique retraite de la grande armée, Sylvain Tesson et ses amis le géographe Cédric Gras et le photographe Thomas Goisque, tous fondus de Russie et d’aventure se lancent un défi : refaire le voyage de retour dans un side-car soviétique des années 30 accompagnés de Vassili et Vitaly deux compères russes.

Quatre mille kms, 12 jours de folie en plein hiver russe, un récit où Histoire et voyage de nos cinq larrons sont habilement mélangés, rendant ce livre passionnant, haletant. Ajouter à cela un humour décapant mais aussi une grande élégance dans les pages relatant les terribles conditions de vie (et de mort) des soldats de 1812, vibrantes d’humanité.

Oh bien sûr les pisse vinaigre pourront toujours critiquer des imprécisions historiques, le goût exacerbé pour la vodka de Tesson et de ses potes, l’admiration pour Napoléon, les considérations sur la médiocrité de notre époque, etc … mais au bout du compte il reste (pour moi) un grand plaisir de lecture comme il en est rarement donné et n’est-ce pas cela le plus important ?

Mi

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 14:32

Un os de petit doigt vieux de 1,8 millions d'années a été découvert en Tanzanie.

Un petit doigt très bavard qui a permis aux chercheurs d'en savoir plus sur ces hominidés dont nous sommes les descendants même indirectement.

Un petit doigt qui nous parle de la main cette merveille qui est à l'origine de notre évolution car comme le dit l'un des « inventeurs », entendez par là découvreur du petit bout d'os : « Notre main a évolué pour nous permettre toutes sortes de gestes et manipulations … C'est cette capacité à manipuler avec précision qui a interagi avec notre cerveau et permis le développement de notre intelligence, principalement grâce à l'invention et l'usage des outils. »

Quand on sait par ailleurs que de nos jours l'utilisation d'un outil scripteur (crayon, stylo, pinceau etc.) donc le fait d'écrire MANUELLEMENT a un rôle dans la construction de notre personnalité et l'élaboration des circuits neuronaux, rattachant cet état de fait à la précédente découverte, l'enseignante que je reste en conclut donc que la motricité fine (utilisation d'outils diversifiés) est déterminante pour la survie de l'humain et pour son épanouissement psychique, physique.

Un petit doigt m'a dit !

Je ne peux donc que m'émouvoir et m'inquiéter lorsque je constate que de plus en plus fréquemment l'outil scripteur est abandonné au profit de l'ordinateur et que certains pays dont la Suède, mais d'autres y pensent très fort, ont décidé d'abandonner dès les classes préparatoires l'apprentissage de l'écriture manuelle.

Arg !

Do

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  • : Hist' toiles
  • : Nous sommes deux soeurs... L'une peint, l'autre écrit. Nous avons envie de partager nos vécus, nos ressentis, nos expériences; de témoigner... Nous aimons par dessus tout la nature, notre plus grande source d'énergie... Sur ce blog, nous vous présenterons des peintures, des livres, mais aussi des photos de nos voyages, de nos randonnées, des récits... Nous tenterons enfin de vous entraîner dans la grande aventure de notre vie: notre cheminement spirituel vers l'Amour et la Lumière.
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