31 mars 2017
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Lors de notre dernière virée début mars nous avions mis à notre programme la découverte d’Angoulême avec comme fil conducteur, cela s’imposait, la BD.
L’office du tourisme édite de nombreux documents détaillant les différents peintures murales, tout ce qu’il faut pour organiser une visite originale de la ville.
Garé au bord de la Charente, non loin des anciennes papeteries qui firent la renommée d’Angoulême, le vélin d’Angoulême, ça vous parle ?, c’est d’un pas hardi qu’il faut grimper les jardins qui cascadent au pied des remparts car Angoulême est majoritairement une ville perchée !
Notre premier mur peint est l’oeuvre de Marc Antoine Mathieu.
Elle s’intitule « Réalité, sortie de secours ».
Un trompe l’œil saisissant en 6 images.
On a vraiment l’impression que le mur se désintègre sous nos yeux.
Square St André, les « Mémoires du XX e siècle » de Yslaire sont une étape avant l’Hôtel de Ville renaissance.
Nous nous baladons le nez en l’air pour découvrir « le Baron Noir » de Got et Petillon.
Evidemment il nous fallait trouver Gaston et son gaffophone !
Ne pas louper Lucky Luke et Joly Jumper.
Il y en a partout, dans les endroits les plus improbables, des œuvres d’artistes connus comme les « sales Mioches » de Berlion et Corbeyran.
Mais d’obscures artistes ont habillé des portes,
des transformateurs électriques leur donnant une dignité inattendue.
Ne boudez pas votre plaisir, cela vaut vraiment le coup !
Do
Published by Do Fredo
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