LE COMPLOT ORGANISÉ POUR TENTER DE DÉTRUIRE CEUX QUI DÉRANGENT.
Je rapporte ici le nouvel article me concernant qui vient d’être publié sur La Dépêche du Midi dans sa version numérique et qui paraîtra demain matin dans sa version papier.
Comme vous pourrez le lire, il démontre bien que je suis victime d’une injustice inédite ; aux dires de mes avocats c’est même du jamais vu !!!
Ainsi, il suffirait qu’un patient déclare qu’il a été conscient pendant quelques minutes de son opération pour que l’anesthésiste soit condamné à 6 mois de prison avec sursis et immédiatement interdit d’exercice pendant un an !!! On croit rêver ! Mes collègues anesthésistes et chirurgiens à qui je raconte cela ont bien du mal à me croire, et pourtant...
On a fouillé ma vie, on a interrogé mes proches, mes éditeurs, mes collègues de travail, tous mes déplacements, mes achats, en cherchant l’erreur, la faille. On m’a placé deux fois en garde à vue !!! Ils n’ont trouvé que cela à me reprocher car il n’y avait rien d’autre.
J’ai été mis sous écoute. Un drone est venu filmer ma maison, on a aussi fouillé mes comptes, et là c’est vrai, j’étais en faute par négligence et mauvais conseils et je l’ai volontiers reconnu ; j’ai depuis changé de cabinet comptable. Nous démontrerons facilement avec mes conseils qu’il n’y avait de ma part aucune tentative de fraude intentionnelle.
On a décidé en haut lieu ma mise à mort parce que je dérange mais je me battrai et je gagnerai car j’ai malgré tout confiance en la justice qui ne sera pas nécessairement celle de mon pays puisque nous saisirons la Cours Européenne des Droits de l’Homme si nous n’obtenons pas satisfaction.
Dans cet article de La Dépêche, on parle « des témoignages à décharge de 26 personnes ». En fait, il s’agit de 26 médecins et chirurgiens de La clinique La Croix du Sud à QUINT avec lesquels je travaillais. Ils ont témoigné par écrit des bons et loyaux services que je leur ai apportés pendant des années. J’ai même endormi deux d’entre-eux pour leurs propres interventions ; s’ils m’ont choisi parmi les 21 anesthésistes en poste, c’est qu’ils me faisaient sans doute confiance. Tous ont souhaité m’apporter de cette façon leur aide et je les en remercie chaleureusement. Enfin presque tous, puisque le médecin urologue (que je préfère ne pas nommer) qui a signalé au fameux patient que je m’étais absenté 5 minutes pour aller uriner en lui conseillant de porter plainte contre moi au pénal, au conseil de l’ordre et à la direction de la clinique, n’a bien sûr pas participé à ce plébiscite. J’ai d’ailleurs porté plainte contre ce praticien au Conseil de l’Ordre des médecins pour propos anti confraternels et faute déontologique, et là aussi, on pourra évaluer l’impartialité de cette instance dans cette incroyable affaire.
Voici donc l’article en question signé par le journaliste Jean Cohadon.
Poursuivi après une opération où le patient affirme avoir « vécu un véritable cauchemar », le docteur anesthésiste toulousain Jean-Jacques Charbonier, a été condamné en septembre par le tribunal correctionnel de Toulouse. Il a fait appel et conteste aujourd’hui son interdiction d’exercer prononcée par la justice.
Poursuivi devant le tribunal correctionnel de Toulouse fin septembre après ce que la justice considère comme une faute d’anesthésie et de surveillance d’un patient lors d’une opération en avril 2019, le docteur Jean-Jacques Charbonier a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et un an d’interdiction d’exercer.
Une décision frappée rapidement d’appel « parce qu’en 35 ans d’exercice, il n’a jamais eu le moindre problème, insiste son nouvel avocat, Me Simon Cohen. Ce médecin se plaint d’une enquête disproportionnée et il a raison. On ne retient pas les témoignages à décharge de vingt-six personnes. Pourtant le protocole d’anesthésie appliqué lors de cette intervention a été validé par l’expert et la très brève absence de la salle qu’on lui reproche n’a eu, elle, aucune conséquence. D’ailleurs les douleurs dont se plaint le patient demeurent antérieures à cette absence et par conséquent, entre le soi-disant préjudice et ce qui lui est reproché. Il n’existe pas de relation de cause à effet. Il n’est donc pas possible de déceler de manquement à une obligation susceptible d’engager à fortiori une responsabilité pénale. »
Contraire à la convention européenne des droits de l’homme ?
La chambre des appels correctionnels va donc étudier le dossier mais Me Cohen conteste également l’interdiction d’exercer avec exécution provisoire, donc immédiate, prononcé par le tribunal correctionnel dans son jugement.
« Compte tenu des délais d’appel, entre 12 et 18 mois à Toulouse, cette interdiction sera purgée avant que le dossier revienne devant la cour. En droit pénal français, on peut interjeter appel de toutes les décisions, par exemple un placement en détention, mais aucun recours n’est prévu quand un tribunal correctionnel prononce une exécution provisoire. C’est pour le moins particulier », explique l’avocat toulousain.
Son cabinet a donc déposé un recours la semaine dernière pour réclamer la mainlevée de cette interdiction d’exercer. « Nous demandons à la cour d’appel, en l’occurrence la chambre des appels correctionnels, de se saisir de cette question. Nous nous trouvons devant un vide juridique que la cour doit pallier. On ne peut pas, d’un côté, affirmer que ce médecin bénéficie de la présomption d’innocence puisque sa condamnation n’est pas définitive, que sa responsabilité est contestée et contestable mais, en parallèle, lui interdire d’exercer. Pour moi, cette impossibilité est non seulement contraire à la déclaration des droits de l’homme mais surtout contraire à la convention européenne des droits de l’homme. »
Dans sa dernière communication Marie Sophie L a dit de manière magistrale ce que nous, les deux de « L'écritoile », avons décidé de mettre en pratique : ne plus alimenter tristesse, colère, indignation.
Ne plus agiter l’ombre mais œuvrer pour servir le positif, pour participer à la construction d’un futur joyeusement !
Retrouver son âme d’enfant, oui, c’est possible !
Chacun peut le faire à son propre niveau en commençant par des choses simples.
Déjà en travaillant sur soi en renforçant son système immunitaire. Comment ?
En veillant à avoir une alimentation saine, vivante (fruits et légumes) et en éradiquant les produits raffinés et les préparations industrielles (sucre et pain blanc déjà), en s’hydratant et en s’oxygénant. Petit rappel que donnent tous ceux qui travaillent en médecine holistique, en énergétique : La respiration est votre outil majeur d’élévation, d’allègement, de régénération. Cela donne à réfléchir en cette période.
En faisant des cures de vitamine D, d’extrait de pépins de pamplemousse, de pollen. Demandez nous nous avons plein de « trucs » à partager.
En pensant à l’Huile essentielle de Ravintsara dès maintenant ; une goutte sous le nez pour créer un masque olfactif qui protégera nez, gorge, oreille et une goutte au creux de la main à la jonction de l’index et du pouce, l’information cheminera dans tous vos centres énergétiques.
Stimulez votre taux vibratoire en pratiquant des activités physiques, en écoutant de la musique, privilégiez tout ce qui met le coeur en joie : bains de nature, de gros bisous à vos chiens, chats !
Ne vous élevez plus contre quelque chose mais cherchez à travailler à la mise en place de son contraire.
Choisissez de fréquenter des personnes qui vous ressemblent et font tout pour ne pas se laisser contaminer par le marasme ambiant.
Faites un jeûne d’informations à intervalles réguliers. Il n’y a pas de mal à se voiler la face parfois !
En ce qui nous concerne nous avons admis que certaines personnes ne veuillent pas, ou ne puissent pas comprendre notre façon de voir les choses, chacun ses choix mais nous faisons ce qu’il faut pour ne pas nous laisser contaminer par ceux qui ne voient que le côté sombre de la vie.
Nous savons très précisément ce que nous voulons comme monde nouveau.
Nous le voulons solidaire, fédéré autour de projets à visage humain au coeur de micros sociétés où la notion de partage est le point fort. Nous réfléchissons à la mise en place, à défaut d’une monnaie solidaire, d’un fonctionnement basé sur l’échange de services, le partage d’espaces et de tâches et cela marche.
Nous le désirons ancré en pleine nature et d’ailleurs nous allons bientôt attaquer la création de notre forêt native où la biodiversité sera à l’honneur. Nous rêvons à petite échelle mais qui peut le moins peut ensuite le plus (dicton personnel).
Alors ancrez vous dans la joie, commencez petitement en ambitionnant juste d’avoir en fin de journée de quoi remercier la vie pour une petite joie, même infime. Vous verrez que rapidement il vous faudra un cahier de gratitude pour tenir le journal des mercis à la vie.
Depuis le dernier discours de E Ma Cron j’ai décidé que chaque jour serait à marquer d’une pierre blanche parce que j’aurai réussi à vivre joyeusement, ça fonctionne !
Dominique