Noël arrive et nous sommes nombreux à penser que cela ne veut plus rien dire de nos jours, tant cette fête est devenue commerciale! Alors aujourd'hui, nous vous proposons d'écouter "la pastorale des santons de Provence" de notre enfance, retrouvée sur YouTube...
Quel bonheur! La nativité avec l'accent marseillais et tout l'humour qui le caractérise! Ecrite par Yvan Audouard, aujourd'hui décédé, comme la plupart des artistes qui interprètent ce morceau de bravoure (vous reconnaîtrez sûrement l'inénarrable Fernand Sardou et sa femme, Jacky), cette oeuvre n'a pas pris une ride depuis 1960. Alors, régalez-vous! C'est vraiment l'esprit de Noël qui souffle dans nos cœurs... Joyeux Noël à tous!
Après avoir lu le livre de Rupert Isaacson, « l’enfant et le cheval de vent » (lien avec l’article du blog pour rappel : http://www.longville-dofredo.com/2017/11/l-enfant-et-le-cheval-de-vent-a-lire.html), nous avons eu envie de découvrir l’œuvre de sa femme, Kristin Neff, maître de conférences au département de psychologie de l’éducation de l’université du Texas, à Austin. Kristin Neff est notamment connue pour avoir conduit les premières recherches dans le domaine de l’autocompassion.
« S’aimer » est LE livre à lire si vous avez l’habitude de vous déprécier et de vous culpabiliser systématiquement.
Notre culture, loin de valoriser l’autocompassion, tend au contraire à la condamner. En effet, être gentil avec soi-même et compatir à ses erreurs, à ses souffrances, est souvent considéré comme de l’égoïsme. On voit bien pourtant que l’autocritique et la culpabilisation ne font qu’envenimer les choses.
La compassion est une valeur fondamentale chez les bouddhistes qui estiment inutile d’espérer savoir prendre soin des autres sans s’être déjà accepté soi-même.
D’où l’idée de l’autocompassion.
Trois attitudes sont fondamentales en matière d’autocompassion :
Etre capable de se considérer avec bienveillance, car, lorsque l’on prend l’habitude d’être bienveillant avec soi-même, la souffrance devient une occasion d’expérimenter l’amour et la tendresse depuis sa propre source intérieure.
« Qui, autour de vous, est capable de vous apporter affection et bienveillance sept jours sur sept et vingt quatre heures sur vingt quatre ?... Vous-même. »
Admettre son humanité, et se sentir en lien avec les autres car le sentiment d’échec et d’insuffisance font partie de l’expérience même de la vie sur terre.
Pratiquer la pleine conscience.
La pleine conscience, ou pratique de l’écoute intérieure, permet de repérer ses moments de souffrance. Etre en pleine conscience c’est très simple en fait. Cela signifie prendre conscience d’être conscient. Au lieu d’être en colère, je prends conscience que je suis en colère, et déjà, je prends du recul, j’envisage les choses sur un plan plus objectif, je gagne en sagesse et en capacité d’analyse. Je remarque ce qui se passe : une pensée colérique, une peur, un malaise physique… mais je ne m’identifie plus à cette colère, cette peur, ce malaise. « La faculté d’écoute intérieure nous donne les moyens de répondre aux évènements au lieu d’y réagir ».
La pleine conscience, lorsqu’elle s’accroît, se traduit automatiquement par une augmentation du degré de compassion.
L’autocompassion n’a rien à voir avec l’estime de soi. L’estime de soi correspond à une évaluation de soi-même, un jugement attestant que l’on est quelqu’un de bien et de valeur, et mieux que les autres, de préférence. Par le biais de l’évaluation, de la comparaison, elle nous sépare des autres.
« Aujourd’hui, l’accent mis sur le besoin de se construire une image positive tend à accroître de manière inquiétante le narcissisme au sein de la société. Et les conséquences à long terme sont désastreuses ».
L’estime de soi est une manifestation de l’Ego. A l’opposé, l’autocompassion fait passer l’Ego au second plan. Grâce à cette pratique, on cesse de s’évaluer en tant qu’individu isolé des autres pour se percevoir comme une partie d’un grand tout interconnecté.
L’estime de soi nous maintient dans la dualité : il y a moi et les autres. Avec l’autocompassion, il y a moi, comme partie du tout.
Or que fait la société actuelle, dès l’école ? Elle nous sépare des autres en nous obligeant sans cesse à nous comparer, par la compétition et la concurrence. Nous nous comparons et nous nous opposons les uns aux autres, mais nous comparons également et opposons nos groupes d’appartenance. Or c’est bien l’identité groupale qui est la source des conflits.
Les messages positifs et réconfortants créent un climat propice à notre épanouissement et nous permettent d’exprimer le meilleur de nous-mêmes ; alors ne soyons pas les premiers à détruire notre confiance en soi en nous autocritiquant sans cesse. Rappelons-nous que les jugements négatifs agissent comme des éteignoirs… Sur soi-même comme sur les autres.
A l’inverse, parallèlement à l’autocompassion, développons nos capacités d’autoappréciation. Il faut savoir pointer ce qui nous rend heureux, même dans les moments difficiles, et cultiver la gratitude. On le dit, on le répète, « merci » est un mot magique. « S’entraîner à noter les points positifs de l’existence aide à savoir apprécier l’instant présent. L’auto appréciation permet de se délecter de tout ce qu’il y a de positif en soi et dans sa vie ».
En résumé et en conclusion, l’autocompassion, c’est « être capable de se relier avec bienveillance à tout ce que l’on croise sur le chemin de l’existence semé de triomphes et de tragédies ; percevoir son interdépendance avec tous les êtres et toutes les choses et prendre conscience de l’instant présent, sans le juger ».
Tout un programme, à découvrir dans ce livre, facile et agréable à lire, émaillé d’anecdotes et d’expériences personnelles. Car si Kristin Neff donne des conseils, c’est qu’elle les a elle-même expérimentés. Vous le verrez, son chemin n’est pas un long fleuve tranquille et prouve bien que l’autocompassion est un réel moyen d’aller mieux, même dans la vraie vie.
Frédérique
En lien, ci dessous, un texte intéressant sur la méditation de l'amour altruiste, par Matthieu Ricard:
« L’enfant et le cheval de vent » est une aventure humaine extraordinaire. L’auteur, Rupert Isaacson est un journaliste texan spécialisé dans les problèmes d’environnement et de droits humains, dont le petit garçon, Rowan, a été diagnostiqué autiste à l’âge d’environ deux ans.
Dans un premier livre, « l’enfant cheval », devenu best-seller international, il a raconté comment son fils avait commencé à s’éveiller grâce à la médiation d’une jument, Betsy, et relaté l’incroyable périple familial accompli à travers les steppes de Mongolie pour aller à la rencontre des chamanes et y trouver la guérison. Mais les progrès accompli à ce moment-là n’ont pas été définitifs ; un an plus tard, Rowan a régressé et son père s’est souvenu des paroles du chamane : l’enfant aurait besoin de trois autres soins de ce type avant d’être guéri.
Dans ce second livre, à travers cette quête, nous partons à la découverte des cultures chamaniques dans divers coin du monde : bushmans en Namibie, aborigènes en Australie et indiens Navajo en Amérique du nord. Parallèlement, nous suivons pas à pas la création d’une méthode originale de soins et d’apprentissage destinées aux enfants autistes, et du centre qui lui est consacré, « New Trails ».
Ce livre est un document passionnant dans de nombreux domaines. Les rites chamaniques, les transes et les guérisons qui s’ensuivent ne sont pas feintes ; là où souvent la science cartésienne et la médecine traditionnelles ont échoué, elles sont bien réelles et montrent bien à qui n’en est pas encore convaincu que tout n’obéit pas à la loi de la rationalité.
Et puis il y a cette façon de vivre le handicap, loin des sentiers battus de l’obligation scolaire (par la force des choses !), dans l’action, le contact avec la nature, basée sur le vécu, l’expérimentation, enrichie par le contact animal, l’observation du vivant.
Evacuer le stress, les stimuli sonores ou visuels trop violents et organiser autour des enfants un univers joyeux, calme, serein. Facile à dire, diront certains, quand on vit déjà en pleine nature, au milieu des chevaux, comme c’est le cas de la famille Isaacson ! Oui, mais…
Si le cheval est un fabuleux partenaire pour détendre les enfants (et les adultes), activer la production d’ocytocine, l’hormone du bien-être qui favorise l’échange et l’accès aux apprentissages, on peut se servir d’un trampoline pour obtenir le même résultat.
Apprendre en s’amusant pour apprendre mieux ! Les enfants autistes sont ainsi capables de progrès stupéfiants et leurs compétences dépassent souvent très vite celles des enfants dits « normaux ».
Mais alors, pourquoi donc réserver ce traitement aux seuls enfants autistes ? Ne serait-ce donc pas là le moyen de combattre, entre autre, la phobie scolaire dont souffre un nombre croissant d’enfants, les problèmes d’inattention, l’hyperactivité, tous ces maux du siècle que l’on préfère soigner à coups de médicaments ? Les enfants d’aujourd’hui, soumis à la pression constante des évaluations, de la compétition, du souci de normalité, voire de conformité des profs, contraints à l’immobilité des heures de rang, dans un cadre fermé, austère, n’auraient-ils pas tout à gagner dans une pédagogie de l’action capable de réveiller leur curiosité, de stimuler leur imaginaire défaillant, de booster leurs capacités d’analyse et de déduction, au sein d’un environnement stimulant la joie de vivre, l’amour de tout ce qui nous entoure, et susceptible aussi de favoriser une véritable socialisation ? (L’enseignante qui sommeille toujours en moi, se lâche !)
Les cas d’autisme ont augmenté de façon fulgurante depuis quelques années, et cela n’a sûrement pas fini de s’arranger. Dans ce livre, nous découvrons que ce handicap difficile à gérer peut malgré tout de devenir une richesse, le professeur Temple Grandin à qui un film a été consacré en 2010, en est la preuve vivante.
L’auteur met en avant une des principales particularités des autistes : ils n’ont pas d’Ego. Et dans notre monde ultra compétitif, c’est réconfortant, même si, du coup, il faut leur apprendre à se protéger !
Ce livre est un message d’espoir avec une « happy-end » dont aucun esprit chagrin ne saurait dire que ce n’est pas la vraie vie ! Il suffit d’y croire, de vouloir, de se dire que si c’est juste, cela se fera.
Juste un bémol : on parle beaucoup du papa, beaucoup moins de la maman… Et pourtant, elle est toujours là, du début à la fin. Mais bon, seule l’œuvre de Dieu est parfaite !
Nous avons eu la chance de recevoir un livre « voyageur » intitulé : Le Messager !
Contrairement à ce que peut laisser croire le titre, le livre est LE messager ! Que l’on choisisse de le lire ou non, cet ouvrage doit circuler.
Témoignage d’une aventure hors normes émanant d’une personne que je qualifierais d’éveillé, l’auteur nous livre le message qu’il a reçu et qui nous concerne tous.
Ce message se décline en sept lois que nous découvrons au fil des pages.
Méditer, intégrer ces lois et passer à l’action, voilà le propos de ce livre plein d’espoir pour notre Humanité. Tout est possible car rien n’est définitif pour peu que nous nous en donnions les moyens.
Que l’on adhère immédiatement à ce récit ou que l’on choisisse de le lire comme un roman de science fiction, il y a beaucoup d’enseignements à glaner et à intégrer mais comme vous n’aurez peut-être pas la chance de le recevoir, notre exemplaire est reparti en voyage, et que je suis convaincue que son contenu est essentiel à notre notre évolution, en voici un résumé le plus fidèle possible qu’il vous sera possible de faire circuler à votre tour !
Première loi, la Foi !
Le plus grand secret de l’humanité est la force de la Foi, pas celle qui nous demande de croire en quelqu’un ou en quelque chose de plus grand, de plus puissant, de plus sage que soi, non ! « La Foi représente la faculté de croire en soi et non en un être suprême qui décide au gré des ses humeurs et de ses fantaisies, du sort de l’Humanité. »
La Foi est notre capacité à reconnaître ce que nous sommes, c’est à dire des esprits libres de penser et de créer sur la Terre par le seul pouvoir de notre volonté. La toute puissance n’a pas été donnée à Dieu pour qu’il règne tel un souverain sur l’homme et sur la femme. Elle a été donnée à l’homme et à la femme afin qu’ils s’élèvent sur la Terre comme le feraient des Dieux ! Et si beaucoup sont morts et continuent de tuer au nom de Dieu et ou de leur Foi, de nombreux textes nous invitent à croire en nous et notre potentiel :
« En vérité je vous le déclare, si un jour votre Foi est semblable à une graine de moutarde, vous direz à cette montagne « Passe d’ici là-bas » et elle y passera. Rien ne vous sera impossible. » (Mt 17, 20)
ou encore :
« Avec nos pensées nous créons le Monde » Bouddha
La Foi c’est croire que « le secret de toute chose est en nous et tout autour de nous ; la pensée c’est de l’énergie et l’énergie matérialise cette pensée ! »
Deuxième loi, maîtriser ses pensées
La conscience est la science du Nouveau Monde. Toutes les pensées que nous avons dans le monde voyagent vers un point qui est défini par cette même pensée. Toute pensée émise et reçue par celui qui était sur la même fréquence revient sous forme d’écho amplifié à son créateur même si elle ne trouve pas de récepteur pour recevoir et emmagasiner l’énergie générée. Nous recevons donc toujours ce que nous émettons et amplifiée, il est donc important de veiller à penser positif d’autant que les pensées négatives qu’elles soient dirigées vers nous ou vers un tiers, abaissent toutes les énergies.
Pour pouvoir profiter pleinement de notre pouvoir il faut apprendre à maîtriser pensées, paroles, actions.
Nous sommes le résultat de nos pensées, il nous appartient donc de prendre notre avenir en main, nous en sommes les seuls responsables et notre premier rôle en tant qu’être sur la voie de l’éveil est d’arrêter de véhiculer les messages qui ne font que propager les feux de l’inconscience collective mondiale. Agir en pleine conscience pour améliorer nos conditions de vie présentes en développant des technologies qui n’auront aucune répercussion négative sur l’environnement.
Troisième loi, Respecter toutes formes de vie
Pour atteindre un niveau de conscience qui permet d’être créateur avec la matière, qu’elle soit animale, végétale, minérale etc., il est avant tout obligatoire de la considérer d’égal à égal. Toute forme de vie est précieuse, que les abeilles viennent à disparaître, qu’en sera t’il de l’Humanité ? Nous sommes tous issus de la même source de vie et si l’on distingue des consciences individuelles (les humains) et des consciences collectives (les règnes animal, végétal), tout est en évolution constante dans l’Univers. Conscience individuelle, conscience collective, nous apprenons les uns des autres. Tout se transforme et si une partie de la conscience collective (le chien notamment) a la possibilité de muter lorsqu’elle est en contact étroit avec une conscience en évolution pour devenir une entité (incarnée) intelligente, tous les « individus » appartenant à des consciences collectives participent à notre évolution. Regardez vivre Virgile, notre fox terrier, a été un enseignement. Il nous a appris le don de soi sans rien attendre en retour, nous a fait découvrir ce qu’était que vivre au présent, tout était toujours la première fois pour lui ! Le chien est le parfait exemple de ce qu’est vivre sans juger !
Ne découvre t’on pas actuellement les extraordinaires facultés des arbres capables de ressentir, voir, communiquer ?! (« La vie secrète des arbres » de Peter Wohlleben aux éditions Les Arènes)
Chaque «être incarné » peut atteindre un haut niveau de conscience à condition d’accepter de faire des changements dans sa vie.
« Notre environnement […] a subi certaines perturbations […] si nous ne changeons pas notre façon d’aborder le futur, nous pourrions subir à plus long terme le même sort que les précédentes civilisations. » C’est une chance inespérée qui nous est offerte […] de remédier à la situation en modifiant notre façon de vivre pour construire une société nouvelle régie par des valeurs humanistes et respectueuses de l’environnement. »
Un esprit sain dans un corps sainse déclineaujourd’hui en « une société saine dans un environnement sain. »
Quatrième loi, Faire des bons choix
Faire les bons choix implique d’être à l’écoute des signes que la vie nous envoie. Ne pas prendre à la légère les incidents à répétition ou ces coïncidences qui semblent justement répondre au problème du moment. Nos rêves, les rencontres, nos lectures … tout est porteur de sens dès lors que nous commençons à nous détacher petit à petit des bonheurs artificiels en privilégiant ce qui est immuable.
Oublions le mot croissance et cherchons plutôt à nous diriger vers ce qui est durable car une croissance illimitée dans un monde où les ressources deviennent limitées est un paradoxe qui devrait nous imposer de consommer de manière raisonnée et de privilégier une certaine sobriété.
Rester critique et savoir résister à ce qui ne nous convient pas même si la tendance en vigueur tend à nous y amener est une attitude à développer. Regroupons nous pour échanger, partager et ainsi construire un avenir plein de promesses. Il nous est juste demander de savoir réajuster le tir quand une action va à l’encontre de l’équilibre planétaire. Le résultat final de cette action se doit d’être en accord parfait avec l’environnement.
Cinquième loi, Unir les forces
Chacun de nous est libre de consentir ou non au travail de conscientisation qui nous est demandé mais si nous acceptons ce défi à nous de le vivre pleinement et de « prêcher » par l’exemple. Lorsque suffisamment d’individus seront éveillés à cette vérité, elle s’imposera comme une évidence au plus grand nombre.
Cela peut sembler une vision utopique pour le moment [ … ] mais pour ceux qui se dissocient de la masse [ … ] cette image de l’avenir n’est pas aussi irréaliste que nous pourrions le pensercar nous n’évoluons pas tous dans le même monde.
Il existe des plans de conscience différents, cela n’a rien de restrictif ou de péjoratif, c’est une évidence que nous ne sommes pas tous touchés par les mêmes problématiques. Certains s’éveillent à la cause environnementale pour laquelle certains militent depuis longtemps alors que d’autres nient totalement l’impact de l’activité humaine sur l’environnement prônant même un retour à des technologies obsolètes et dangereuses pour notre planète !
C’est l’existence de ces différents plans qui expliquent que nous soyons plus spécialement attiré par telle ou telle mouvance !
Sixième loi, respecter les forces de la Nature et avoir présent à l’esprit que donner la vie est un miracle, la préserver est une obligation
Que vous l’ayez déjà expérimenté ou non, il existe des courbes temporelles qui permettent à notre esprit de voyager dans un autre lieu, un autre temps. Ces visions (du futur ou du présent) que nous découvrons en empruntant certains corridors célestes ont différentes fonctions. Elles peuvent nous offrir à un moment crucial de notre existence la réponse à un problème auquel nous nous heurtons sans voir d’issue possible. N’avez-vous jamais ainsi à votre réveil constaté que subitement votre horizon s’éclaircissait. Qui n’a pas vécu en rêve une situation qui justement éclairait d’un jour nouveau une situation conflictuelle dont il était impossible de sortir.
Il en est de même pour chaque choix que nous faisons dans la vie, cela débouche toujours sur un futur qui est la conséquence de ce choix. Chaque fois que l’Humanité fait des choix, il y a des corridors qui disparaissent et d’autres qui apparaissent.
Prenons un exemple basique, repenser sa consommation en eau car « l’eau étant l’élément neutre de la nature et pouvant être utilisée à plusieurs usages … grâce à cet élément nous pouvons transformer une chose tout en ne modifiant pas sa structure originelle ! » S’équiper de récupérateurs d’eau de pluie est un investissement mais si cette pratique permet d’alléger la facture, elle suscite également une prise de conscience chez chacun d’entre nous. Lorsque nous en sommes rendus à guetter l’ondée salvatrice qui regonflera nos réserves, nous sommes invités à repenser notre mode de vie !
« Les humains ont à apprendre à écouter la nature. Il nous a été donné à la naissance la faculté d’entendre l’inaudible, de comprendre l’incompréhensible. » Nous l’avons oublié. « Cette prédisposition naturelle est … devenue surnaturelle à cause de notre désir de tout contrôler … sauf qu’il existe des choses dans la nature qui ne peuvent être contrôlées et que nous devons respecter … les forces de la nature qui vivent et œuvrent autour de nous ».
L’homme a pour mission de transmettre ces enseignements de la vie que les forces de la nature nous enseignent. Transmettre est notre devoir, nous devons donc éduquer les enfants. Ils sont la plus grande richesse d’un peuple. C’est par eux que tout commence, c’est par eux qu’un jour, peut-être, tout s’achèvera. « Il est primordial de les aimer et de les chérir, les instruire est une chose, les aimer en est une autre. »
Septième loi, contrôler ses émotions
Contrôler ses émotions … veut dire apprendre à gérer les émotions négatives et irrationnelles qui déséquilibrent l’esprit, peur, colère, jalousie par exemple.
« Les émotions sont nécessaires à l’épanouissement de l’homme et de la femme … pour exprimer toute la beauté et tout l’amour qui sont en nous … il faut reconnaître que certaines émotions sont néfastes et aliénantes. [ … ] En sachant les reconnaître nous apprendrons à les utiliser plutôt qu’à en devenir esclaves.Ces émotions sont nécessaires à l’être humain car ce sont des émotions impliquées dans la transition*. Elles servent à passer à un niveau de conscience et doivent être utilisées comme tremplin. Ce sont des barrières à franchir afin d’être en mesure un jour de se libérer de cette emprise et ultimement parvenir à l’éclosion de la conscience ».
Un principe est essentiel à l’équilibre de ces sept lois et à la vie elle-même. Il s’agit de l’Amour, l’Amour de Soi, l’Amour des autres !
« L’Amour doit devenir le fondement de toutes formes et de toutes actions dans le futur. l’Amour est la voie principale qui mène à la conscience ».
L’Amour ne peut être relayé au simple rang de Loi.
« C’est le fondement même de l’homme et de la femme, il est la richesse de l’être et la source de vie ».
Sans Amour la vie ne peut trouver son chemin. L’Amour ne peut et ne doit pas être réprimé.
Donner l’Amour est source de libération.
Proclamez le !
Propagez le !
Partagez le !
Aimez le !
Le contraire de la Foi est la peur !
« Toutes choses deviennent possibles lorsqu’on y croit. »
Si ce message vous parle, faites le circuler.
C’est un résumé fidèle que j’ai tenté d’étayer de propos reflets de mon propre ressenti, de mes expériences.
Notre mission est une quête qui évolue et s’affine. Le chemin pour la trouver est aussi important que le mission même car il va nous permettre de nous connaître.
Nous disposons de 7 clés pour trouver notre mission d’âme.
1. Reconnaître nos qualités et nos talents
C’est un des premiers éléments de notre quête car nous venons au monde avec les qualités et les talents nécessaires à la réalisation de notre mission d’âme. Il s’agit de ce que nous aimons faire et pour lequel nous avons des facilités. Nous nous devons de développer nos qualités car venir au monde avec des qualités et des potentiels signifie que nous avons la responsabilité de les reconnaître, de les faire grandir, de les exprimer sans pour autant tomber dans l’orgueil. Cela fait intégralement partie de notre mission d’âme.
Avoir du talent ne signifie pas être virtuose, cela n’a rien à voir avec la performance, nous pouvons les exprimer même par de petits actes quotidiens.
Observer pourquoi les personnes font appel à nous peut nous renseigner sur nos qualités et donc sur ce que pourrait être la nature de notre mission d’âme.
Plus nous sommes dans la reconnaissance et le partage de nos talents, de nos qualités, plus nous attirons les opportunités facilitant leur mise en œuvre dans le cadre de projets concrets.
2. Trouver les activités qui nous donnent de la joie et de l’énergie
Ce n’est ni un devoir ni un sacrifice, il s’agit de ce qui nous motive, que l’on peut faire pendant des heures. C’est la contribution que nous avons envie d’apporter autour de nous et que nous aurions du plaisir et de la joie à partager.
3. Observer les expériences passées que nous avons traversées et ce que nous en avons appris
Pour apprécier la Liberté, il faut avoir vécu l’enfermement ! Traverser des épreuves rend à même d’aider ceux qui traversent les mêmes épreuves.
Il s’agit de trouver les bonnes questions à se poser :
Qu’ai-je appris dans ma vie qui ferait que je pourrais aider d’autres à surmonter comme obstacles dans leur vie ?
Qu’ai-je appris que j’aimerais transmettre ?
Qu’est-ce que je tire comme leçon, comme apprentissage des expériences passées ?
C’est en assimilant les leçons de notre vie que nous progressons dans la réalisation de notre mission d’âme.
4. Identifier nos valeurs
Nos valeurs représentent ce qui est important pour nous.
Si nous vivons en accord avec nos valeurs nous avons plus de chance de nous sentir épanoui dans notre vie. Vivre en accord avec ses valeurs est fondamental pour l’estime de soi.
Pour trouver ses valeurs il faut se demander :
ce qui est important pour soi
ce qui nous touche particulièrement en bien/ou dans la révolte
ce que l’on veut transmettre
5. Écouter les signes
Lorsque l’on a une mission spécifique on reçoit des signes, ce peut être des opportunités, des rencontres … il faut rester attentif, remarquer ce qui se reproduit fréquemment, les synchronicités !
Les signes viendront d’autant plus facilement que nous aurons fait une demande claire d’être guidé vers notre mission d’âme.
Enfin les deux derniers points !
Essentiels ils demandent un rigueur quotidienne, une pratique de la méditation pour savoir se centrer, se connecter à son être profond, savoir museler son Ego pour laisser qui l’on est s’exprimer !
6. Écouter notre guide intérieur
Nous laisser guider vers certains lieux, certaines personnes en faisant confiance à notre intuition, en sachant reconnaître et décrypter les signes qui nous sont envoyés. Les mêmes propositions qui reviennent, une maladie ou un accident qui va nous envoyer sur une autre piste ...
7. Rencontrer notre mission d’âme à travers des voyages intérieurs dans un état d’expansion de conscience
Avant de rentrer dans le vif du sujet, première subtilité à intégrer, il faut distinguer les missions de vie qui sont des programmes de guérison de celles qui sont des programmes d’accomplissement !
En effet à chacune de nos incarnations une des missions de vie que nous nous donnons est de venir guérir nos blessures majeures (abandon, rejet ...) et c’est notre âme qui définit ses objectifs de guérison en choisissant les blessures karmiques qui n’ont pas été guéries (car non acceptées) pour venir en s’incarnant les dépasser et les guérir.
Pour nous aider à identifier ces blessures plusieurs pistes sont possibles.
La piste la plus évidente est d’observer ce qui se répète le plus fréquemment dans notre vie, puisque nous attirons ce qui est en résonance avec nos blessures.
Nous pouvons aussi observer et noter ce qui nous interpelle chez nos parents car notre famille est le creuset propice à notre évolution, elle détient les clés pour identifier ce que notre âme à choisi de libérer et de guérir.
Le premier élément qui va faciliter la libération de nos blessures est leur acceptation. Accepter ne signifie pas se résigner passivement et n’interdit pas l’action destinée à changer ce qui peut être modifié mais le refus de prendre en compte une souffrance va cristalliser la blessure et lui donner toujours plus de force.
Accepter c’est accueillir la souffrance, la reconnaître, c’est aussi reconnaître notre responsabilité dans ce que nous vivons. Ainsi souffrir de l’indifférence des autres, c’est accepter d’être quantité négligeable mais en se demandant ce qui en nous peut justifier leur attitude. La ou les causes identifiées, il est possible de les accepter et de trouver l’antidote pour en finir avec cette souffrance.
Une piste de guérison sera donc de prendre conscience de la façon dont nous autoalimentons nos blessures comme des attitudes de soumission ou au contraire de provocation par exemple. Chaque fois que l’un de nous réussit à transcender une situation ou un état problématique, il allège l’inconscient collectif et rend de l’énergie de guérison disponible pour que d’autres puissent l’utiliser et transcender l’obstacle à leur tour.
Surmonter une épreuve c’est ouvrir une porte pour d’autres personnes.
Guérir nos blessures c’est aussi développer et vivre les qualités opposés à ce qui nous fait souffrir, à ce qui est notre plus grande blessure. En recherchant les qualités aux antipodes de ce qui nous fait le plus souffrir et en choisissant de les vivre il sera possible de se guérir, par exemple développer des qualités d’accueil et de solidarité permet de dépasser et accepter des souffrances nés du rejet ou de l’abandon. Exprimer ces qualités guérit et il est plus facile et efficace de développer les qualités auxquelles nous aspirons profondément que de lutter contre des blessures d’autant que souvent nous renforçons ce que l’on cherche à combattre, tout simplement parce qu’en luttant contre quelque chose nous le nourrissons de notre attention et de notre énergie.
Pour mener à bien notre première mission de vie, notre programme de guérison, il faut donc reconnaître et accepter la blessure qui se reproduit le plus dans notre vie. Pour ce faire, il est nécessaire de conscientiser comment nous avons monté généralement inconsciemment cette blessure. Il faut ensuite identifier la qualité que nous voulons à la place de cette blessure et exprimer le plus possible cette qualité.
Ainsi, lorsque j’étais petite, j’ai très mal vécu mes années de scolarité à l’école primaire, allant jusqu’à fuguer dès que les institutrices avaient le dos tourné lors de mon année en cours préparatoire. Cela a continué dans les autres cycles d’apprentissage mais entre temps j’avais développé des « sauvegardes » pour pouvoir tenir. Par contre je m’étais déjà préparée à l’une de mes missions de vie que je peux identifier aujourd’hui comme un programme de guérison. Ce qui m’a le plus blessée, car en total opposition à ce que je vivais auparavant avec mes parents, c’est de devoir me fondre dans un moule où la personnalité de chacun était niée. Obéir n’était pas le problème, devoir supporter la toute puissance d’adultes qui refusaient le dialogue sans doute par crainte de se sentir déposséder d’un sentiment de puissance était une injustice. Ce sentiment de puissance que les enseignants développent à l’encontre de leurs élèves, je l’ai souvent retrouvé chez des collègues au cours de ma carrière, et analysé comme une antidote à des situations de brimade personnelles. En choisissant consciemment l’enseignement alors que ma vie d’écolière m’était une souffrance et en me promettant de ne jamais faire vivre à mes élèves ce que je ressentais, j’ai été amenée à développer des qualités d’écoute, de réconfort. Une manière de commencer à soigner très certainement de vieilles blessures de rejet et d’injustice.
En choisissant de développer des qualités notre âme se guérit et s’exprime dans son essence et sa beauté.
Ces qualités sont aussi la contribution unique qu’elle souhaite apporter à la terre, c’est à dire les talents qu’elle souhaite offrir à l’humanité pour contribuer à son évolution : guérir les humains, les plantes ou les animaux, enseigner, accompagner.
Des talents qui passeront par le partage, la communication, l’entre-aide !
Cet article, et ceux à venir, s’adressent à tous ceux qui, persuadés que leur venue sur Terre ne peut être le fruit du hasard se demandent ce qu’ils sont venus y faire !
Rares sont ceux qui ont conscience de ce qu’ils sont venus accomplir et si des êtres exceptionnels nous prouvent de manière évidente qu’ils suivent un chemin de vie déterminé, la grande majorité d’entre nous cherchent les motifs qui ont présidé à leur incarnation.
Lors de notre naissance nous arrivons avec des missions de vie à réaliser, nous n’en avons généralement plus conscience et, si bien souvent nous nous engageons intuitivement sur un chemin de vie plein de sens pour notre âme, tout est à découvrir de ce que nous avons à effectuer.
Nous avons eu l’opportunité récemment de suivre des visioconférences données par Sophie Guedj Metthey, thérapeute énergétique, canal.
Avec rigueur et clarté elle répond aux diverses questions que l’on peut se poser pour arriver à faire que notre passage sur Terre nous épanouisse, nous élève, pour apporter notre contribution à l’Humanité !
Une Mission d’âme est ce que notre âme a choisi de venir expérimenter, guérir, offrir au monde mais le but premier de toute incarnation est d’apprendre à nous aimer pour pouvoir aimer les autres.
C’est aussi une quête car une mission de vie se révèle étape par étape et n’a rien de définitif. Elle évolue, s’affine au fil du temps et de nos expériences. C’est un chemin de connaissance de soi qui passe par une écoute profonde de notre être intérieur, de notre âme et le chemin pour la découvrir est aussi important que la mission elle même. Enfin il n’y a pas de grande ou de petite mission, ce n’est pas un sacrifice, un devoir !
Notre mission d’âme donne un sens à la vie car être en accord avec sa mission d’âme donne un sentiment de paix intérieure et nous permettra de quitter cette terre avec le sentiment d’accomplissement.
Connaître sa mission d’âme nous aide à trouver notre juste place et à exprimer qui nous sommes vraiment et non ce que les autres veulent. Cela nous aide à définir plus facilement nos priorités et à savoir où se diriger dans la vie.
Ce qui n’est pas aligné avec qui nous sommes vraiment et avec notre mission d’âme devient de plus en plus lourd à porter, nous vivons alors des expériences qui ne nous correspondent pas et nous le ressentons douloureusement dans notre corps, notre âme.
S’aligner avec sa mission d’âme apporte une joie profonde et stimule notre capacité à être au bon endroit au bon moment en attirant ce qui est en cohérence avec ce qui nous est essentiel dans la vie, les rencontres, les circonstances ... bref le soutien nécessaire à la réalisation de nos potentiels et de notre mission.
Si cette vision de notre mission d’âme n’est pas reconnue, c’est ce qui est le plus présent dans nos champs énergétiques qui s’activera, nos plus grandes blessures, nos angoisses, nos peurs … C’est un phénomène magnétique et quantique qui attire ce qui vibre à l’identique !
Enfin notre mission d’âme est bien au-delà d’une profession, c’est un élan d’expression qui peut être partagé dans de nombreux domaines. Si notre métier est bien souvent le moyen d’accomplir notre mission d’âme, il n’est pas la mission puisque nous pouvons ne pas en avoir et l’accomplir.
En accomplissant notre mission d’âme nous devenons une source d’inspiration pour les autres, un plus pour tout ce qui est.
Il y a déjà un certain temps que je ne doute plus de l’impact que peuvent avoir nos pensées (même non exprimées), que je connais le pouvoir créateur qui est le nôtre.
Les mots ont en eux une force que l’on est bien loin de savoir mesurer. Juste un exemple et pardon à ceux à qui je l’ai déjà raconté !
Je commence toujours la journée, après un moment de recentrage et de méditation, par demander le meilleur pour moi et même pour vous puisque j’inclus dans cette demande : mes amis, mes relations, ma famille, notre Terre et tout ce qui est, dans tous les règnes, dans tous les éléments !
Je demande également le meilleur pour mes diverses entreprises, entrant dans le détail si je m’apprête à réaliser quelque chose de particulier. C’est en cette occasion que j’ai fait l’expérience de la force des mots et de la pensée.
Alors que nous nous apprêtions à partir en voyage et que nous redoutions de mauvaises conditions climatiques, j’ai demandé un « voyage d’enfer » ! Dans ma tête cette expression signifiait un voyage placé sous le signe du beau temps. Nous avions un bon tronçon de route à faire en altitude et redoutions de nous retrouver bloquer par la neige ! Nous avions à peine quitté la maison que nous étions dans un brouillard à couper au couteau ce qui n’arrive quasiment jamais par chez nous, en tout cas pas après une forte tramontane. Des bouchons incroyables nous ont ensuite bloquées dans notre progression, du jamais vu sur cette portion d’autoroute. Un festival d’accidents et de déviations mal balisées, de contrôles routiers !
En débouchant sur la A75 j’ai d’un coup réalisé que l’on nous servait ce que j’avais demandé, une route d’enfer à coup sûr ! Instantanément j’ai corrigé demandant que les conditions de circulations soient les meilleures possibles et que nous puissions rallier notre but facilement, visualisant les passages les plus délicats baignés de soleil. Quelques minutes plus tard nous passions la seconde, la troisième et hop, 3 heures plus tard nous avions refait notre retard !
« Avec nos pensées, nous créons le Monde ».
Ce n’est pas de moi mais de Bouddha !
Toutes les pensées que nous avons voyagent vers un point qui est défini par la nature de cette même pensée. Qu’elles atteignent leur but ou non, elles nous reviennent, amplifiées ou non. Il nous faut donc absolument apprendre à maîtriser nos pensées.
Autant dire que lorsque ce matin j’ai découvert en prenant la température du Monde sur les sites d’informations qu’un clip simulant une attaque des États Unis par la Corée du Nord était en ligne, j’en suis restée atterrée !
Alors que devrions nous centrer sur la Paix, rechercher en nous ce que nous voulons vraiment vivre et, à défaut de le mettre en œuvre, le visualiser avec le plus d’intensité possible, choisissant avec précision notre vocabulaire, c’est tout le contraire qui nous est proposé.
Il y a maintenant pas mal de choses que j’ai comprises.
Il n’est pas égoïste de s’aimer, c’est juste la clé pour pouvoir aimer l’autre et reconnaître en lui ce que nous sommes, en concevoir de l’indulgence.
S’aimer soi nous conduit à savoir se montrer bienveillant. Cela attire la bienveillance et amène à se sentir en confiance. Être confiant, c’est être en Paix.
Nous vivons actuellement des moments déstabilisants, que ce soit en politique intérieure ou en politique internationale et si je n‘ai pas l’intention de vous donner des conseils, pourquoi le ferais-je ?, je veux juste vous donner quelques pistes de réflexion. Il y a quelques jours les médias faisaient la une avec un attentat possible au moment de la présidentielle, apparemment cela est devenu réalité !
Alors j’aimerais vous proposer un exercice de visualisation auquel je me livre chaque matin. J’imagine que chacune de mes expirations envoie dans la pièce où je suis une énergie d’amour qui est en moi, à cette énergie se mêle la Paix qui m’habite. Puis c’est une double flamme blanche et brillante comme le cristal qui vibrent la joie d’être, de pouvoir exprimer le meilleur. Ces énergies s'expansent autour de moi et petit à petit atteignent les personnes que je côtoie et auxquelles je pense. A leur tour baignées par ces énergies, elles les rayonnent autour d’elles. Une grande vague de Paix, de Joie et d’Amour déferle sur tout ce qui est !
Il n’y a plus de peur juste la confiance et la certitude que les autres ont les mêmes aspirations que moi. Pourquoi en serait-il autrement.
Essayez, vous verrez ! C’est notre corps entier qui vibre, on a l’impression de ne plus avoir de limites, d’être fondu dans un « tout ». On est bien, en paix avec soi. Et si chacun a le même ressenti pourquoi ne pas imaginer que le meilleur est à venir ?
Et surtout, un conseil, choisissez votre vocabulaire, QUE DU POSITIF !
Chacun de nous est un être complexe qui ne se résume pas à ce que nous « voyons ».
Sans aller jusqu’à évoquer nos corps énergétiques (une réalité) nous distinguons au minimum 4 corps : le corps physique, le corps énergétique (qui nous enveloppe et est l’émanation de notre corps physique), le corps émotionnel, le corps mental.
A noter que chacun de ces corps est doté de sa propre conscience !
Le corps émotionnel est constitué de tout ce que nous avons pu intégrer comme expériences dans notre vie. Il s’agit de ce bagage affectif dont nous avons hérité de nos familles auquel s’ajoute celui que nous trimballons de nos vies antérieures (si l’on y croit) et que nous étoffons tout au long de notre vie.
Il représente notre capacité à sentir, ressentir, c’est notre relation à l’autre.
Notre corps mental est notre capacité à penser, un peu le maître d’œuvre capable de bloquer nos émotions si nous lui laissons la bride sur le cou !
Ennemi du lâcher-prise, si nous lui en donnons l’opportunité en lui déléguant nos pouvoirs, il va inexorablement prendre le dessus et, par exemple, nous maintenir dans une routine sécurisante nous empêchant de nous construire en tant qu’individu. L’imaginaire est la pile qui alimente notre mental or trop d’imaginaire nous déconnecte de l’émotionnel (d’où le danger des technologies qui misent tout sur le virtuel) pouvant faire des individus des clones au service de n’importe quelle idéologie.
Le but est donc d’arriver à se construire sans qu’aucun de nos corps prennent le pouvoir sur un autre. Trop, pas assez … vaste question.
Mais revenons en à la médecine.
Sans chercher à schématiser nous pouvons dire que la médecine allopathique s’attache à soigner les effets de la maladie. La médecine homéopathique quant à elle tend plutôt à en rechercher les causes comme toutes les médecines holistiques qui traitent à la fois le corps et l’esprit. Voilà pourquoi le médecin homéopathe s’inquiétera par exemple de savoir, alors que vous venez pour un problème de sinusite si vous avez tendance à souffrir d’entorses à répétition. Mais cela s’explique, différentes souches peuvent avoir raison d’une sinusite, c’est le cas de Hydrastis Canadensis ou Kalium Bichromicum avec une différence notoire, la seconde souche est souveraine pour les lésions tendineuses. Nos réponses aident le praticien à déterminer votre terrain, notion très importante en homéopathie, et de faire le choix du remède le plus juste possible.
De la même manière, lorsque vous consultez un homéopathe, un naturopathe ou un médecin en médecine chinoise vos états d’âme seront une de leurs préoccupations.
Ils s’attacheront à savoir si vous aimez avoir chaud, manger épicé ou si vous avez un sentiment de colère qui vous mine le mental, des regrets qui vous fouaillent les tripes !!!
Tout cela pour en arriver où je veux en venir : nos maux ne sont jamais que l’expression de quelque chose de plus intime qui peut arriver à se dessiner par petites touches avec le concours de praticiens formés à l’écoute : une blessure d’enfance, des formes pensées inculquées par votre environnement culturel ou familial, des évènements destructeurs qu’une chape de plomb a occultés.
Pour savoir écouter ce que notre corps nous dit différentes possibilités s’offrent à nous, psychothérapeutes, recours au psychogénéalogiste lorsque nos difficultés se font l’écho de troubles répétitifs de génération en génération, énergéticiens qui interviendront aussi bien sur l’alimentation, l’hygiène de vie, l’équilibre de l’esprit, recours aux médecines naturelles notamment à l’aromathérapie car les plantes tout comme nous sont des êtres vivants, énergétiquement très puissantes qui bien souvent résonnent en harmonie avec nous.
Des plantes qui ont la particularité d’agir dans notre inconscient car si nous ne pouvons mettre de mots sur nos maux, notre corps lui sait !
C’est juste ensuite une affaire de CONFIANCE !
Tout ceci pour en conclure que chacun de nous est bien évidemment libre de ses choix en matière de soins mais il est quand même difficile d’adhérer à certains propos qui tentent à assimiler les médecines naturelles (holistiques) à du charlatanisme.
Depuis quelque temps nous recevons en commentaires à certains articles de notre blog des propos vantant les mérites d'un marabout avec coordonnées téléphoniques (à l'étranger qui plus est) et adresse mail. Ces commentaires n'ont, en plus, rien à voir avec le thème de l'article, hier c'était en réponse à celui sur la chasse !
Nous avons donc activé la modération afin d'éviter une avalanche de commentaires inappropriés sur des dizaines d'articles. Cela n'a rien à voir avec le fait de croire ou non, ce n'est pas le rôle de ce blog qui n'a pas pour vocation de faire de la publicité ou de conseiller telle ou telle personne pour des "soins" (énergétiques ou autres) que nous n'aurions pas validés personnellement. Si nous avions un conseil à suggérer il est par ailleurs évident que cela ne passerait pas par le canal du blog. Merci de trouver un autre "hébergeur" !
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Nous sommes deux soeurs... L'une peint, l'autre écrit. Nous avons envie de partager nos vécus, nos ressentis, nos expériences; de témoigner... Nous aimons par dessus tout la nature, notre plus grande source d'énergie... Sur ce blog, nous vous présenterons des peintures, des livres, mais aussi des photos de nos voyages, de nos randonnées, des récits... Nous tenterons enfin de vous entraîner dans la grande aventure de notre vie: notre cheminement spirituel vers l'Amour et la Lumière.