Pour que vive l’homéopathie !
A l’heure où les médias ne cessent de dénoncer l’inefficacité de l’homéopathie en matière de soin, voici quelques réflexions à porter au crédit de cette médecine tant décriée.

Tout commence en 1796, avec un certain docteur Samuel Hahnemann, médecin allemand, qui eut l’idée (géniale !) de diluer des substances médicinales dans de l’eau pour ne conserver que « l’essence » de leurs principes curatifs, pressentant ce qui a ensuite été mis en évidence par plusieurs scientifiques de renom (le professeur Vinh Lau, physicien et professeur à la faculté de Montpellier ; le Docteur Jacques Benveniste, immunologue et chercheur au CNRS et à l’INSERM ; le Professeur Luc Montagnier, biologiste virologue, prix NOBEL pour sa découverte du virus du Sida) : la capacité de « mémoire de l’eau ». On le sait aujourd’hui ; l’eau capte, garde en mémoire et transmet une signature électromagnétique.
On nous dit : il n’y a « rien » dans un médicament homéopathique.
« Le problème des polémiques récurrentes ne se trouve pas dans le manque de résultats scientifiques en faveur de l’homéopathie, explique le Docteur Martine Gardénal, médecin du sport ayant accompagné l’équipe de France au JO de Los Angeles en utilisant l’homéopathie. Il se trouve dans le fait que pour comprendre cette médecine puissante, il faut élargir le paradigme matérialiste. Il faut sortir de la toute puissance de la chimie et prendre en considération les recherches de pointe sur l’électromagnétisme. »
Oui, car en réalité, des résultats scientifiques, il n’en manque pas !

Dans les années 2000, le Professeur Montagnier a expérimenté la dilution d’ADN dans de l’eau, au-delà de la vingtième ou trentième dilution. On sait qu’à partir de la dixième dilution, il ne peut rester aucune trace matérielle, physique, de la substance initiale (ce qui fait justement dire aux détracteurs de l’homéopathie « qu’il n’y a rien » dans un médicament homéopathique !) Au final, le Professeur a procédé à l’enregistrement des ondes électromagnétiques dégagées par les tubes d’eau dans lesquels il n’y avait… plus rien (bien au-delà de la dixième dilution, donc). Et voilà qu’il a détecté des ondes, ce dont il a été le premier étonné.
Mais ce n’est pas fini : dans un second temps, le professeur Montagnier a envoyé à des chercheurs italiens de l’université de Sannio, un enregistrement électromagnétique d’une de ses dilutions. Et à partir du fichier numérique correspondant à cette eau où il n’y avait soi-disant rien, les chercheurs sont parvenus à reconstituer l’ADN initial. C’est fou, non ?
Voir à ce sujet le documentaire « la mémoire de l’eau », de Christian Manil.
https://www.dailymotion.com/video/x3sbctn
Autre reproche fait à l’homéopathie : il ne s’agirait en fait que de placebos !
D’accord. Mais savez-vous que, quelque soit le traitement choisi, homéopathique ou allopathique, l’effet placebo participe au moins à 30% dans la réussite du traitement ?
Il n’est certes pas facile de prouver l’efficacité d’un traitement homéopathique, dans la mesure où cette médecine est holistique et prend en considération, non pas la pathologie isolée, mais le patient, dans son intégrité physique et psychique. Ainsi, pour une même pathologie, le traitement différera d’un patient à l’autre. C’est pourquoi une consultation chez un véritable médecin homéopathe dure considérablement plus longtemps que chez un allopathe ! Et aussi pourquoi on ne peut tester chez tous les patients en même temps l’efficacité de « Dulcamara » en cas d’otite, par exemple.
Soit dit en passant, les études à résultats négatifs concernant l’allopathie sont rarement mis en avant, et une chose est sûre, jamais un médicament homéopathique ne fera autant de dégâts que le Médiator.
Bon, enfin, bref, ne nous leurrons pas. Toute cette polémique n’a qu’un seul but : dérembourser l’homéopathie et faire des économies sur le dos des patients qui refusent les drogues de la chimie médicamenteuse. Peu à peu, les cursus de formation homéopathique sont supprimés des universités. La guerre est déclarée aux homéopathes et à leurs adeptes. Fort heureusement, tous les pays ne font pas les même choix que la France ; l’homéopathie survivra et reviendra un jour en force. Hauts les cœurs !
Frédérique