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15 mars 2017 3 15 /03 /mars /2017 20:24

Ça bouge à L'Ecritoile en ce mois de Mars !

Le 25 à 15h30 Frédérique sera en compagnie de Laurent Counord, autre écrivain mondialement connu à St Génis, à la médiathèque de Laroque des Albères. Ils vous présenteront chacun leur dernier roman, répondront à toutes vos questions ! Je crois même avoir entendu parler d’un petit café, offert en cette occasion.

Quant à moi, jusqu’à la fin du mois de mars, je vous « invite au voyage » au travers une sélection de toiles, toutes des coups de cœur ! Et comme je suis décidée à continuer à m’alléger, ces coups de cœur peuvent même être à vous !

Do

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14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 17:31

Mais pour qui on va voter????

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14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 17:28
L’Hermione est une superbe frégate qui dût une première fois sa célébrité au non moins célêbre Gilbert De La Fayette. Si son soutien aux nordistes américains connut le succès que l’on sait, l’action ne visait en fait qu’à ébranler la suprématie anglaise. La guerre d’Indépendance ne fut qu’un faux prétexte né de ces vieilles rancœurs qui s’exaspéraient entre la France et la perfide Albion. Revenue toute auréolée de victoire en France, elle coula bêtement au large du Croisic le 20 septembre 1793 à cause d’une erreur d’appréciation du pilote embarqué pour négocier la passe !
Si l’épave ne put jamais être renflouée, l’Hermione a retrouvé une seconde vie et son ancre d’une tonne et demi lui fut rendu en 2005 au terme d’une campagne de fouilles.

 

Un peu plus de 200 ans après sa triste fin, l’idée folle de lui redonner vie a germé dans la tête de passionnés et 17 ans plus tard elle reprenait la mer sur les traces de La Fayette.
65 mètres de long, 3 mâts dont un de plus de 54 mètres, 26 canons, l’Hermione est une frégate de « 12 », référence aux boulets de 12 livres que tiraient ses canons.
Nous l’avions manquée de peu lors de notre précédente venue à Rochefort, cette fois elle nous attendait et sa visite nous a permis de passer un très agréable après-midi en compagnie d’une petite dizaine de visiteurs et d’un charmant guide.

Ayant fait partie de l’équipe de bénévoles qui a travaillé à la reconstruction puis embarqué pour la première traversée, on ne pouvait rêver mieux que ce jeune homme pour nous guider dans cette découverte. Accessoirement il avait un je ne sais quoi de notre violoniste préféré à en rester coites.
La première Hermione fut construite en 6 mois, sa réplique en 17 ans !
Plusieurs raisons justifient cet écart de durée dans la construction. La première tient au contingent de main d’œuvre disponible, 80 personnes en 1997 et plus de 200 en 1778, des bagnards corvéables à merci ! Par ailleurs à cette époque les chantiers navals tournaient à plein, les réserves de bois étaient conséquentes. En 1997 il fallut trouver les arbres adéquats, les couper, les débiter et les faire sécher avant de pouvoir les utiliser. Imaginez que 75 % du bois ainsi coupé ne fut jamais utilisé ?!
L’absence de plan fut un autre défi qu’il fallut relever.
L’Angleterre qui dès le XVIIIe siècle pratiquait l’espionnage industriel sauva la mise. Flûtes, galions, frégates … étant tous construits selon les mêmes plans, celui piraté d’une frégate contemporaine de l’Hermione, d’une minutie exceptionnelle, permit de reconstruire quasiment à l’identique la frégate de La Fayette, les seules différences imposées, l’ayant été, soit-disant, au nom de la sécurité !
Deux moteurs équipent donc la frégate pour, entre autre, suppléer aux bagnards qui hâlaient les bateaux de Rochefort jusqu’à la mer, 3 semaines contre 3 heures aujourd’hui, et faire face à certains imprévus.
Autre dissemblance, les canons ! Leur nombre n’a pas varié mais ils ont dû être bouchés notre législation l’exigeant, dans le cas contraire, la frégate entrait dans la catégorie bâtiment de guerre. De quoi rire quand on sait ce que cela suppose comme manœuvres, temps et précautions que de tirer le canon ! Enfin, la loi, c’est la loi !
Par contre côté couleur, rien n'a été changé, c'était aussi kitsch qu'aujourd'hui.
Construire l’Hermione a demandé de savoir inventer un nouveau mode de construction notamment en raison du temps de séchage du bois. Les bordages ont été boulonnés et non rivetés afin de pouvoir assurer une étanchéité correct du bordé.
Par contre, les moindres détails ont été restitués même les lieux d’aisance situés à la proue du navire, sous le mât de Beaupré sont opérationnels, tout l’équipage s’est fait un plaisir de les tester !

L’Hermione a aussi son chat comme toute embarcation en bois qui se respecte, une chatte très exactement qu’il fallut cependant débarquer à Brest lors de la première traversée. Victime du mal de mer elle a retrouvé depuis ses bonnes vieilles habitudes. Chaque couchette est la sienne, elle est partout chez elle sur la frégate.
L’Hermione en quelques chiffres, c’est 4 hommes pour barrer par forte mer, une heure pour faire demi-tour, des centaines de poulies, cordages, pièces de bois dont il faut connaître les noms, les spécificités, 2200 m2 de voilures.
Le pont de Batterie est sympathique même si l’omniprésence des canons paraît incongrue au néophyte et on s’y verrait sans peine y casser la croûte. Quand au troisième pont accueillant les couchettes et hamacs, à quai, il est somme toute cosy et doté de douches et lieux d’aisance là où étaient cantonnés avant les animaux embarqués. Une nette amélioration sur le plan olfactif !
Si l’envie vous tente de naviguer sur l’Hermione, vous pouvez postuler pour sa prochaine sortie, en 2018 en Méditerranée. Peu d’exigence si ce n’est de ne pas être sujet au vertige. Il vous sera demandé de faire la preuve que vous pouvez sans problème grimper les 54 mètres de gréements, le plus souvent sans sécurité car affaler les voiles, les rouler en cas de coup de mer ne laisse pas vraiment le temps de jouer du mousqueton ! Sachez également que si le sort vous attribue un hamac comme couchage, en cas de mauvais temps ils ne balancent pas tous dans le même sens ! Gare aux collisions !
Voilà, vous êtes prévenus et si cela ne vous sourit guère il reste possible de la visiter à Rochefort ou en 2018 sur les vives de la grande bleue. Il n’est pas impossible en ce qui nous concerne que nous fassions un saut jusqu’à Barcelone, nous y retrouverons peut-être notre charmant jeune homme ?!
Do
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28 février 2017 2 28 /02 /février /2017 21:10
Ce matin une fois réveillée la dernière phrase entendue dans mon rêve résonnait très fort à mes oreilles : « La démocratie c’est quelque chose de fragile ! ».
Je revoyais nettement la scène, une pièce lumineuse et un homme qui me parlait, d’un danger, d’une menace.
Je ne peux pas vous dire comment j’ai « su », de la même manière sans doute que je peux dire que je vois, j’entends ... des voix, des défunts, des choses. Cela arrive au cerveau sans passer par les sens, cela touche la zone du cerveau concerné, sans intermédiaire. J’ai compris mon rêve, il comportait un enseignement à partager … avec vous.
« La démocratie n’est pas acquise une fois pour toute.
On peut nous la confisquer, il en coûte énormément pour se la réapproprier.
Et encore n’est-ce pas assuré !
Il faudra réfléchir avant de voter les 23 avril et 7 mai »
Un message clair à mon sens. Tous les partis politiques ne se valent pas, il y a une hiérarchie dans l’immonde. On ne revient pas toujours aisément d’une descente aux enfers à plus forte raison si la « Force » a été accaparée par un seul camp. Un risque toujours possible.
C’est un scénario ressemblant à celui du film « Missing » de Costa Gravas qui m’a été conté !

Le bleu couleur de marine n’est pas sans danger ! Encore est-ce un euphémisme !
Do
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28 février 2017 2 28 /02 /février /2017 18:15
Le Kunsthistorische Museum de Vienne détient la plus grande concentration d’œuvres de Brueghel. Présentée par le guide du Routard comme le clou des collections de ce musée, il n’en fallait pas plus pour nous décider à partir à l’assaut de ce temple de la culture, le Louvre en un peu moins touffu, mais quand même « du lourd ».

Peintre graveur, Pieter Brueghel dit l’ancien est né entre 1525 et 1530, décédé en 1569 47 œuvres lui sont officiellement attribuées à ce jour, essentiellement des huiles sur bois mais il est avéré toutefois que son œuvre ne se résume pas à ce qui est exposé dans les musées. De nombreuses créations ont disparu mais sont néanmoins connues des spécialistes grâce aux copies qui en ont été faites notamment par l’un de ses fils, Brueghel d’Enfer ou le jeune, ou parce que l’on retrouve leurs traces dans des inventaires de collections privées ou publiques.
Brueghel était très jeune lorsqu’il devint maître de peinture à Anvers et bien que l’époque fut troublée il voyagea jusqu’en Italie pour découvrir les peintres de la Renaissance italienne.
L’Art de Brueghel n’a pourtant rien à voir avec celui de ses contemporains, Cranach, Titien ou même Michel Ange essentiellement parce qu’il s’est attaché à donner vie au petit peuple, aux obscures, aux sans gloire.

 

S’il a peint quelques sujets d’inspiration religieuse, on ne retrouve pas dans toute son œuvre les traditionnelles scènes mystiques, descente de croix, Vierges, lapidations, martyres qui nous ont soit dit en passant passablement « gavées » lors de notre visite. Les notables, les têtes couronnées, les faits d’inspiration religieuses ne retenaient pas son attention et si le sacré est parfois présent il est totalement intégré à la vie profane.
Brueghel a peint le quotidien de ses contemporains que ce soit au Pays Bas ou dans les pays visités et ce qu’il donne à voir est un témoignage sans fioriture de la vie de tous les jours. Chaque peinture est un livre ouvert, la vie y fourmille en une infinité de détails qui révèlent sa vision du monde, un monde où l’humain et la Nature sont totalement liés.

 

Vie et mort, cataclysme ou liesse populaire, travail et oisiveté
Nous nous sommes en effet régalées dans cette salle où une artiste peintre terminait la copie de l’une des plus célèbres oeuvres de Brueghel, les lacs gelés. C’est d’ailleurs en l’observant que j’ai vraiment pris la mesure de la richesse foisonnante de sa peinture, elle travaillait avec un pinceau qui avait tout au plus une dizaine de poils et de ce simple trait émergeait une vie insoupçonnée !

 

Vraiment magnifique !
Do
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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 17:58
Le territoire de Portel des Corbières fut longtemps nommé « Les Oubiels », en référence au terme occitan oubiel qui signifie agneau. Terre d’élevage de brebis et d’agneaux, donc, mais aussi terre plantée de chênes verts qui offrirent au village une autre source de revenus, le tanin. Obtenu pas broyage de l’écorce, le tanin permit l’implantation de nombreuses tanneries sur le village au cours des âges.
Fortement utilisées également pour la fabrication de charbon de bois, les forêts de chênes verts disparurent petit à petit favorisant l’apparition de la culture. Céréales, vignes, amandiers et oliviers amenèrent une nouvelle mutation économique à dominante viticole évidente.
Tous les circuits de randonnées se déroulent au milieu des vignes, des olivettes. Un air toscan, une luminosité exceptionnelle pour découvrir également un patrimoine architectural d’importance.
Les terres de Portel en ont vu de toutes les couleurs et l’on imagine sans difficulté ce que fut jadis ce village doté de nombreux châteaux, certes parfois très ruinés mais dont les vestiges témoignent de l'importance. Il fut même doté d'un tramway !
Traversées par l’antique via Domitia, nous en avons suivi un bon tronçon suite à une erreur d'aiguillage !, ces terres furent le théâtre de la sanglante Bataille de la Berre en 737 au cours de laquelle Charles Martel s’illustra une nouvelle fois repoussant l’expansion arabe. He oui, ce n’est pas en 732 que les arabes furent boutés hors de France, ni même lors de cette bataille d’ailleurs, mais en 759 lorsque Pépin le Bref libéra Narbonne ! Comme quoi marcher est une activité qui enrichit l’intellect.

 

Le fleuron architectural de Portel est sans conteste Notre Dame des Oubiels ou Notre Dame des agneaux ! Située sur un ancien site païen, un classique !, elle succéda à la fin du XIIIe siècle à une autre chapelle, sous l’impulsion de Charles II le Boiteux.
Pour le moins curieux les qualificatifs dont les rois ont été affublés par le passé : Le Gros, Le Chauve, Le Hardi, Le Fainéant … il y eut même un « Le Posthume » ! Qu’en serait-il si l’on adaptait cette mode à nos politiques ? Sans doute serait-il difficile de diversifier les « titres » étant donné que beaucoup d’entre eux flirtent avec le banditisme ! Le Truand, le Voleur, le Menteur !
Pour en revenir à nos « oubiels » la chapelle est dotée d’une superbe oliveraie plantée dans ce qui fut l’ancien cimetière, un lieu magique.

 

Si l’occasion vous en est offerte ne manquez donc pas de venir faire un tour dans le coin. Il y a des randonnées pour tous les goûts et encore d’autres découvertes à faire, comme Terra Vinea !
Le site de Portel fut jadis occupé par un lac où s’accumulèrent les sédiments en quantité remarquable. Un Tsunami le recouvrit apportant lui aussi sa contribution puis tout ceci fut soulevé, plissé lors des grands chambardements liés aux différents plissements terrestres. C’est alors que d’importants gisements de gypse furent remontés à la surface. Exploités à l’air libre puis en galeries souterraines jusqu’à la fin du XXe siècle, en 1991 les plâtrières furent cédées pour le franc symbolique par la société Lafarge aux caves Rocbère.
Un site touristique a vu le jour offrant de nombreuses animations : reconstitution de l’exploitation souterraine du gypse, 800 mètres de galeries occupés par des chais ... Rien ne vous empêche donc de combiner marche et dégustation en tout genre. Le village compte quelques restaurants sympas et Terra Vinea propose à la dégustation ses vins et des menus à des prix tout à fait raisonnables.
Do
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22 février 2017 3 22 /02 /février /2017 21:24
Comment conserver hermétiquement des aliments dans un sac de conservation ?
J'ai trouvé la solution (on m'y a aidée) et surtout je la teste très régulièrement. Voici comment faire.
Prendre une bouteille plastique de préférence avec un gros goulot (jus de fruit), couper à la hauteur de 2 cms du goulot.
Ouvrir le bouchon et incérer le sachet hermétique dans la partie inférieure du goulot
Rabattre le sac plastique sur le goulot
en appuyant fermement pour chasser l'air et visser le bouchon.
Le tour est joué et cela se garde bien plus longtemps car il y a moins d'air et donc d'oxydation !
Do
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20 février 2017 1 20 /02 /février /2017 17:52
Juste une photo et une vidéo !
Ils se font plaisir et nous aussi !
Do
Ps. Cliquez sur "dernière vidéo" !
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19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 20:43
Dans notre midi, lors des périodes de fortes pluies, il est inutile de mettre le nez dehors sauf en cas d’absolue nécessité, nous en profitons pour plonger dans les placards et ranger. Un jour ou deux d’occupation.
Par contre les journées ininterrompues de pluie que nous venons d’essuyer en plein hiver, nous ont prises au dépourvu, les rangements d’automne n’étaient pas loin !
Qu’à cela ne tienne, nous sommes passées à un niveau plus subtil et nous nous sommes attaquées à nos souvenirs !
L’autodafé a commencé, toutes mes déclarations d’impôts depuis 1969 y sont passées (pourquoi les avais-je encore?), mes rapports d’inspection (pourtant très élogieux) ont suivi. Ensuite 40 ans de mémoire sont allés alimenter la cheminée ; vieux agendas hyper détaillés, compte-rendus de voyage des années 80-90 se sont envolés, non sans un dernier coup d’œil qui m’a permis de mesurer le chemin parcouru.
Côté voyage rien n’a changé, nous ne tenons pas plus en place et les périples accomplis Jeannine, Frédérique et moi, ne manquaient pas de sel ! Qu’est-ce que l’on s’est éclatées !

 

J’ai également replongé dans une vie de famille aujourd’hui apaisée mais qui en son temps avait généré bien des remous et constaté avec satisfaction que je n’avais plus ni regret, ni ressentiment. Le constat fut le même au niveau sentimental ... des pages tournées !
Un bref retour sur le passé bénéfique. Tout a été juste, même ce qui a été douloureux et il fallait qu’il en soit ainsi pour pouvoir connaître aujourd’hui la sérénité.
Grisée, j’ai poursuivi l’entreprise m’attaquant aux photographies. Je ne savais pas trop par où commencer. J’avais déjà considérablement allégé mes albums photos mais il restait un nombre impressionnant de clichés, photos noir et blanc, diapositifs et clichés numériques. C’est en regardant les photos du centenaire de Jeannine que le déclic s’est produit. L’énergie qu’elles renvoyaient n’était que le reflet d’un instant, une vibration déformée pas du tout conforme à ce qu’était notre mère !
Aujourd’hui, la pluie a cessé, elle a lavé nos souvenirs, la maison est légère. L’énergie de ce qui fut perdure mais ne nous affecte pas. C’est comme abandonner un vieux vêtement que l’on a aimé mais qui vous gêne aux entournures. On l’on garde juste par fidélité au passé alors que la place devrait être libre pour d’autres vêtements.
Le passé existe, nous en sommes la résultante mais il n’y a aucune raison de s’imposer ce qui ne nous convient plus.
Accepter que l’on ait pu se fourvoyer, admettre que l’on est responsable de ce que l’on a vécu mais savoir que chacun fait ce qu’il peut comme il le peut. Tout ceci concourt à nous libérer et à pardonner, à soi, aux autres.
Ce passé nous pouvons vouloir le laisser sur le bord de la route. Il n’ y a aucune trahison, il ne vibre juste plus en accord avec nos propres vibrations. L’enfant peut avoir besoin de petites roues pour garder le cap sur son premier vélo et découvrir les premières griseries de la vitesse, ce n’est pas pour autant qu’il ne va pas s’en affranchir un jour et se trouvera stupide d’y avoir eu recours.
Nos émotions, nos expériences, notre famille, notre identité culturelle … tout évolue mais il y a un jour où l’on s’aperçoit que cela doit changer. Certaines affections s’effacent de notre vie, notre présent n’a plus à s’en nourrir !
Tout est affaire de vibrations. Nos actes, nos pensées, nos paroles concourent à alimenter le flot d’énergies qui circule autour de nous, en nous. Nous attirons donc ce pour quoi, pour qui, nous vibrons, rien d’étonnant donc que le temps passant nous nous éloignons de ce qui était notre raison d’être et ce qui fut ne sera plus !
Il faut faire en sorte que la vie soit toujours nouvelle.
Le meilleur ne peut qu’être à venir !
Do
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19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 17:31

 

LUMIÈRE ! l’aventure commence

(film documentaire français de Thierry Frémaux, 2017)

 

 

C’est un petit bijou qu’il ne faut pas rater !

 

Un montage de 108 films restaurés (de 50 secondes chacun, soit la durée d’une bobine) qui nous rendent notre âme d’enfant.

Dès le 28 décembre 1895 à Lyon, les frères Auguste et Louis Lumière inventent le cinématographe. De 1898 à 1905 les Lumière et leurs opérateurs tournent à travers le monde 15 000 films, 1422 sont référencés ! un témoignage émouvant, érudit, essentiel et merveilleux.

On est frappé par la perfection des cadrages, l’attention portée à chaque détail, la composition du plan. Tout est là déjà.

 

La « réalisation » et le commentaire sont assurés par Thierry Frémaux, grand amoureux du cinéma, lyonnais lui-même ; délégué général du festival de Cannes et directeur de l’Institut Lumière de Lyon. Le commentaire est accompagné de la musique de Camille Saint-Saëns, un contemporain des Lumière.

 

Mi

 

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  • : Hist' toiles
  • : Nous sommes deux soeurs... L'une peint, l'autre écrit. Nous avons envie de partager nos vécus, nos ressentis, nos expériences; de témoigner... Nous aimons par dessus tout la nature, notre plus grande source d'énergie... Sur ce blog, nous vous présenterons des peintures, des livres, mais aussi des photos de nos voyages, de nos randonnées, des récits... Nous tenterons enfin de vous entraîner dans la grande aventure de notre vie: notre cheminement spirituel vers l'Amour et la Lumière.
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