Mercredi dernier nous avions mis le cap sur un petit ermitage accroché à flanc de montagne, 2 heures de marche avant d’atteindre notre but par un temps couvert qui n’était pas pour nous déplaire. D’ailleurs le chemin du retour sous le soleil nous aurait semblé encore plus dur si nous n’avions pas eu une sympathique terrasse de bistro en vue, à l’arrivée.
Etant les seules visiteurs cela a favorisé le contact avec l’unique occupant des lieux.
Cela sentait bon l’encens et c’est en se renseignant sur la résine utilisée que la conversation a quitté le domaine du matériel pour le spirituel.
Le site, équipé de caméras de surveillance, est relié à une centrale où les images sont stockées et analysées, si besoin est ; c'est-à-dire à chaque fois que l’alarme résonne dans le centre de surveillance, ce qui arrive de temps à autre !
Les images enregistrées par les caméras sont alors passées au crible et où cela devient peu banal, c’est que les visiteurs des lieux dont les caméras ont toujours tirés le portrait, n’ont jamais rien à voir avec des rodeurs qui s’introduiraient nuitamment dans les lieux.
Non ! Ces présences que nous avons pu observer sur de nombreux clichés sont des présences lumineuses de belles tailles (si l’on compare aux objets situés à proximité et dont on connaît pertinemment les mesures) et à forte densité. C’est d’ailleurs pour cette raison que les caméras les détectent.
Les documents qui nous ont été présentés nous ont laissées babas. La technologie qui en a permis une étude plus poussée, révèle à l’intérieur de ses présences, des silhouettes, des visages … Cela ne nous a pas vraiment étonnées car nous avions réalisé, involontairement, des clichés semblables en visitant les catacombes de Palerme. Points lumineux, formes humaines évanescentes brouillent les défunts que nous avions photographiés en ces lieux assez peu engageants. Je peux vous assurer que nous ne risquions pas de perdre de vue le Capucin qui assurait la visite !
Avant de passer à un autre registre, notre hôte a soumis à notre curiosité d’autres clichés faits sur les lieux par des appareils photographiques. De nuit mais aussi de jour, ils nous montrent les lieux, chapelle et environnement de l’ermitage, peuplés de myriades de sphères lumineuses de toutes tailles, des Orbes.
Pour certains ces orbes ne sont que des poussières photographiées par mégarde et qui capteraient la lumière. Cela pourrait être plausible si toutes les photos avaient été réalisées de nuit et au flash !
Or ce n’est pas le cas et cela laisse donc la porte ouverte à d’autres suppositions. Certains y voient la manifestation d’une intelligence Divine consciente. Klaus Heinemann, physicien, y voit la preuve de l’existence d’un monde subtil.
D’une manière générale, les orbes sont définis comme des charges cristallines d’expansion, pour favoriser l’évolution spirituel de notre planète.
En surfant sur le Net, j’ai découvert que certains lieux étaient plus sujets à ces manifestations, les lieux de culte de toute religion, notamment et que les conditions météorologiques n’affectaient pas leurs apparitions, souvent en photographiant la neige, on en capte … En bref, chacun de nous a sans doute dû en photographier sans s’en rendre compte, d’ailleurs en recherchant parmi nos archives voici ce que j’ai trouvé !
C’est beau, non ?
Mais il ne faut pas croire que nous nous en sommes tenues là !
Hier, sorties pour humer la douceur de la nuit, voici un autre cliché que nous avons réalisé (désolé si ce n'est pas aussi net que sur grand écran, mais au bout de chaque flèche, il y en a une !
La conversation a continué et de fil en aiguille a roulé sur le magnétisme et les magnétiseurs. Comme je faisais remarquer à notre hôte (qui arrête le feu, entre autre) que c’était dommage de pouvoir soigner les autres mais de ne rien pouvoir pour ses « bobos » persos, il a été catégorique !
Faux, si on le veut, on peut !
Instantanément, une idée m’est venue.
Pour une fada de marche, j’ai un « blème » ; le tibia file vers l’avant et l’os calcanéen glisse en arrière, donc ça coince de temps en temps et personne n’a encore réussi à solutionner le problème.
Alors, sur le chemin du retour, puisque c’est soit disant une question de volonté, je me suis attrapée le pied à deux mains et j’ai attendu … Soudainement cela a commencé à fourmiller sous mes mains, manifestement il se passait quelque chose. J’ai tenu la pose inconfortable un bon moment, heureusement que la voiture est petite, et lorsque j’ai posé le pied à terre, il était un peu engourdi !
Et bien, cela va faire 8 jours et mon pied va bien, merci !
Hasard, je ne pense pas, c’est juste une histoire d’énergie remise en phase. Point.
Nous avons fait d’autres découvertes ce jour là, mais je ne dirai pas grand-chose de plus pour l’instant, sauf que vraiment, la Vie c’est étonnant et nous n’en connaissons quasiment rien.
Allez, une petite dernière pour le plaisir faite hier également et à bon entendeur !
Do