Cet article constitue le premier volet de notre dernier périple, intitulé pompeusement « Sur la trace de nos ancêtres ».
Des années durant nous avons régulièrement emprunté l’autoroute « du Sud » pour aller nous aérer les globules dans les Alpes. Contraintes de respecter les dates de congés scolaires, les inspecteurs sont « psychorigides », nous quittions toujours la foule vers Dijon où s’entassaient des touristes venues du Nord, de l’Est. Commençait alors un itinéraire à faire rêver les gourmets, ponctué de noms tous plus beaux les uns que les autres.
Cette année, nous avons remis nos traces dans nos anciennes marques mais ce fut encore plus grandiose parce que, redescendant vers le Sud, nous nous sommes fait la route dans son intégralité, suivant un bon moment le canal de Bourgogne.
Canal de Bourgogne
Je ne résiste pas au plaisir de vous détailler le trajet, tout en vous encourageant vivement à prendre des notes.
Précision, je vous le détaille Nord-Sud, mais rien ne vous empêche de le prendre à l’envers et d’y ajouter d’autres haltes.
Pour nous cela a commencé avec « Gevrey-Chambertin » et tout de suite après « Clot de Vougeot ». Ensuite se fut le feu d’artifice, voyez plutôt :
« Vosne Romanée », « Nuits Saint-Georges », « Pommard », « Pouligny-Montraché », « Mercurey » …
Pour un peu, j’oubliais « Beaune » et « Meursault » où d’ailleurs nous avons fait une halte le temps de garnir la soute du fourgon de quelques bouteilles de Gevrey-Chambertin 2006 et le réfrigérateur de Jambon persillé et d’un délicieux jambonneau rôti …
Meursault
Une chose est sûre, cet itinéraire me ravit toujours autant et je ne peux même pas vous en préciser la raison car côté boisson je craque surtout pour le Rhum et ou le Muscat « pèt » (le Corse uniquement) !!!
En fait je n’ai qu’une seule réponse à faire, cela doit remonter à une de mes précédentes incarnations !!!
Peut-être étais-je bourguignonne ou … œnologue ou … poivrotte à moins que ce soit les trois à la fois !
Do